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C'est Jeanne qui m'avait appris l'anglais lorsque j'étais à Rennes ! J'avais passé une superbe annéeà la fac grâce à Jeanne !
Antoine DUROU
Jeanne avait toujours le mot pour rire, même dans les pires situations !
Lucille HUBERT
Par la mort, la famille ne se détruit pas, elle se transforme, une part d’elle va dans l’invisible. Oncroit que la mort est une absence, quand elle est une présence discrète. On croit qu’elle crée une infiniedistance, alors qu’elle supprime toute distance, en ramenant à l’esprit ce qui se localisait dans la chair. Que deliens, elle renoue, que de barrières elle brise, que de murs elle fait crouler, que de brouillard elle dissipe, si nousle voulons bien. Vivre, c’est souvent se quitter ; Mourir, c’est se rejoindre. Ce n’est pas un paradoxe del’affirmer. Pour ceux qui sont allés au fond de l’amour : la mort est une consécration non un châtiment.... Aufond, personne ne meurt, puisqu’on ne sort pas de Dieu. Celui qui a paru s’arrêter brusquement sur sa route,écrivain de sa vie, a seulement tourné la page. Plus il y a d’êtres qui ont quitté le foyer, plus les survivants ontd’attaches célestes. Le ciel n’est plus alors uniquement peuplé d’anges, de saints connus ou inconnus et du Dieumystérieux. Il devient familier, c’est la maison de famille, la maison en son étage supérieur, si je puis dire et duhaut en bas, le souvenir, les secours, les appels se répondent. Ainsi soit-il.
Maurice LEBASTARD
Je garderai dans mon coeur tous nos merveilleux moments passés ensemble, ma chère amie.
Jocelyne LEONARD
Gérard COQUELIN
Il restera de toi… Il restera de toi ce que tu as donné. Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s’est pas fanée. Ce que tu as donné, en d’autresfleurira. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera. Il restera de toi ce que tu as offert Entre les bras ouverts unmatin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu Que tu as attendu plus loin que les réveils, Ce que tu assouffert, en d’autres revivra. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera. Il restera de toi une larme tombée, Unsourire germé sur les yeux de ton coeur. Il restera de toi ce que tu as semé Que tu as partagé aux mendiants dubonheur. Ce que tu as semé, en d’autres germera. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.
Dominique
À toi mon amour, qui adorait ce poème amérindien ! A ceux que j’aime, et qui m’aiment Quand jene serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j’ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas enpensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m’avez apporté ! Je vous remercie pour l’amour que chacunm’a démontré ! Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoirde la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous ne serons séparés que pour quelquestemps ! Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et et la vie continue ! Si vous en avezbesoin, appelez-moi et je viendrai ! Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là, Et si vousécoutez votre cœur, vous sentirez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai ! Quand il sera temps pourvous de partir, Je serai là pour vous accueillir, Absent de mon corps, présent avec Dieu ! N’allez pas sur matombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis lescintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluied’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la nuit ! N’allez passur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort.
Patrice BOIVIN
À tous nos moments de bonheur, ma chérie
Mon amour pour toujours !
Nous avons fait le tri dans nos photos, que de souvenirs avec toi ma chère Jeanne. Tu nousmanques beaucoup.
Famille LOUBOU
Dominique WEBERT
Nous sommes particulièrement touchés par le deuil qui vous frappe, recevez toute notre affection.
Emmanuel VANIER
Sachez que nous pensons bien à vous et nous nous associons à votre peine.
Martine et Paul DURAND
Toutes mes pensées vous accompagnent dans l’épreuve que vous traversez.
Franck LASSAUGE
Le souvenir Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel quicommence. C’est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à côté des siens, en attendant que j’aillel’y rejoindre, je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt. Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacunde ses battements, ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours. Ceuxque nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient, mais ils sont toujours et partout oùnous sommes. Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse : le souvenir.
Famille PAULIN
La corde est brisée Nous étions toi et moi, attachés pour la vie De ces liens qui vibrent en unetendre harmonie Je n’étais que le (la) seul(e) à entendre ce chant Qui contait tes espoirs, tes joies ou testourments. Dans le tumulte incessant du monde alentours Tu savais créer des silences pleins d’amour Desmoments où le bruit doucement s’apaisait Pour laisser percevoir des sons plus légers. Une émotion qui ne peutpasser par les mots Que ta seule présence m’offrait en écho. Même si tu n’es plus, je voudrais que ce lienS’accorde toujours à mon cœur et au tien Faire comme si tu étais là, près de moi. Mais la corde est rompue etles notes sans joie Se dissipent au vent qui l’emmène déjà Vers des sphères où dit-on, se tisse l’éclat D’unemusique éternelle qui chantera Un jour, de tes notes pour mon âme ici-bas. Patrick Huet
Louise DUPONT
Pauline et toi, toujours partantes pour chanter France Gall !
Isabelle TUBEAU
Pour toi, tel que tu es endormi dans la mort, tel tu demeureras pour le reste du temps, exempt dedouleur et du mal… Il faut donc demander ce qu’il peut y avoir de tellement amer si tout se ramène au sommeilet au repos, qu’on puisse se consommer dans un deuil éternel ! Toujours en effet, la vieillesse cède la place aujeune âge qui l’expulse, et les choses se renouvellent les unes aux dépens des autres suivant un ordrenécessaire. Personne ne descend dans le gouffre ténébreux du Tartare ; il faut des matériaux pour quecroissent les générations nouvelles, celles-ci, à leur tour après avoir achevé leur vie, iront toutes te rejoindre. Toutes celles donc qui t’ont précédé ont déjà succombé ; de même succomberont celles qui viendront après toi.Ainsi jamais les êtres ne cesseront de naître les uns des autres, et la vie n’est la propriété de personne maisl’usufruit de tous. Landsberg
Colette TUBEAU
Je n'oublierai jamais.
La fratrie, pour toujours !
Louis DUPONT
Marie DUPONT
Nous avons toujours les écharpes que tu nous avais tricotées ! Un beau souvenir que nousgarderons précieusement, tant tu aimais le tricot !
Jeanne et la pâtisserie... Une vraie histoire d'amour ! Cette photo avait été prise lorsque l'onpréparait les cousinades de 2016 !
Laure DUPONT
Besoin de te retrouver quelque part De te chercher, au-delà de l’absurde, Ton rire, tes yeux et taprésence… Où es-tu ? En vacances ? A l’école ? Reviendras-tu ce soir ? Es-tu retenu en colle ? As-tu signalé tonabsence ? Je t’en supplie, viens remettre le Bazar dans ta chambre. Mets la musique à fond. Mon petit, monamour, Si tu me vois derrière la glace, Si ton petit cœur bat derrière le voile, Fais signe à ton papa (ta maman) Georges Tuadeux
Marcelle NIVEAU
Les premières vacances de Léa avec Marcel et toi ! Elle avait adorée ce moment.
Jean-Michel DRUVON
Ces moments simples, lorsque l'on préparait le goûter tous ensemble !
Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel qui commence. C’estpourquoi en allant confier où il dormira doucement à côté des siens, en attendant que j’aille l’y rejoindre, je nelui dis pas adieu, je lui dis à bientôt. Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacun de ses battements,ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours. Ceux que nous avonsaimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient, mais ils sont toujours et partout où nous sommes.Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse : le souvenir. Doris Lussier
Lou BURRIER
Ton plus beau voyage ! Je me souviens de ce moment où nous étions sur cette magnifique plage... Tu me manques !
J’ai écrit ton nom J’ai écrit ton nom sur le sable, Mais la vague l’a effacé. J’ai gravé ton nom sur unarbre, Mais l’écorce est tombée. J’ai incrusté ton nom dans le marbre, Mais la pierre a cassé. J’ai enfoui tonnom dans mon cœur, Et le temps l’a gardé. Paul Eluard
Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez. On voit ce que je vois et ce que vous voyez ; On estl’homme mauvais que je suis, que vous êtes ; On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ; On tâched’oublier le bas, la fin, l’écueil, La sombre égalité du mal et du cercueil ; Quoique le plus petit vaille le plusprospère ; Car tous les hommes sont les fils du même père ; Ils sont la même larme et sortent du même oeil. Onvit, usant ses jours à se remplir d’orgueil ; On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe, Onmonte. Quelle est donc cette aube ? C’est la tombe. Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu Vousjette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu, Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbres De ses torts,de ses maux honteux, de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu’un dans l’infini Qui chante, et parquelqu’un on sent qu’on est béni, Sans voir la main d’où tombe à notre âme méchante L’amour, et sans savoirquelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d’extase etd’azur s’emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui devient dans la lumière un ange. « Ce que c’est que la mort » – Victor Hugo
50,10 €
Créez un album collaboratif en réunissant les souvenirs des proches de Jeanne Dupont, pour vous ou pour une délicate attention. Vous pouvez commander un ou plusieurs albums pour vous et vos proches.
Format 210x210mm sur papier 200gr. et ½ semi-brillant
Imprimé et façonné en France
Livré sous 7 jours ouvrés via colissimo
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Les albums souvenirs sont limités à 220 pages, et contiennent uniquement les hommages publiés au moment de votre commande.Les hommages dépassant la taille d’une page sont automatiquement répartis sur plusieurs pages.
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