Tous les hommages rendus à Jeanne Dupont

Retrouvez ici tous les hommages, souvenirs et photos déposés en la mémoire de Jeanne Dupont

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Créez un album collaboratif en réunissant les hommages à Jeanne Dupont, pour vous ou pour une délicate attention.

JEANNE DUPONT

1956 - 2022

$"Profil

Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez. On voit ce que je vois et ce que vous voyez ; On est l’homme mauvais que je suis, que vous êtes ; On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ; On tâche d’oublier le bas, la fin, l’écueil, La sombre égalité du mal et du cercueil ; Quoique le plus petit vaille le plus prospère ; Car tous les hommes sont les fils du même père ; Ils sont la même larme et sortent du même oeil. On vit, usant ses jours à se remplir d’orgueil ; On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe, On monte. Quelle est donc cette aube ? C’est la tombe. Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu, Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbres De ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu’un dans l’infini Qui chante, et par quelqu’un on sent qu’on est béni, Sans voir la main d’où tombe à notre âme méchante L’amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d’extase et d’azur s’emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui devient dans la lumière un ange. « Ce que c’est que la mort » – Victor Hugo

Anonyme

$"Souvenir

J’ai écrit ton nom J’ai écrit ton nom sur le sable, Mais la vague l’a effacé. J’ai gravé ton nom sur un arbre, Mais l’écorce est tombée. J’ai incrusté ton nom dans le marbre, Mais la pierre a cassé. J’ai enfoui ton nom dans mon cœur, Et le temps l’a gardé. Paul Eluard

Marie DUPONT

Ton plus beau voyage ! Je me souviens de ce moment où nous étions sur cette magnifique plage... Tu me manques !

Marie DUPONT

$"Souvenir

Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel qui commence. C’est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à côté des siens, en attendant que j’aille l’y rejoindre, je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt. Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacun de ses battements, ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours. Ceux que nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient, mais ils sont toujours et partout où nous sommes. Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse : le souvenir. Doris Lussier

Lou BURRIER

$"Souvenir

Ces moments simples, lorsque l'on préparait le goûter tous ensemble !

Marie DUPONT

Les premières vacances de Léa avec Marcel et toi ! Elle avait adorée ce moment.

Jean-Michel DRUVON

$"Souvenir
$"Souvenir

Besoin de te retrouver quelque part De te chercher, au-delà de l’absurde, Ton rire, tes yeux et ta présence… Où es-tu ? En vacances ? A l’école ? Reviendras-tu ce soir ? Es-tu retenu en colle ? As-tu signalé ton absence ? Je t’en supplie, viens remettre le Bazar dans ta chambre. Mets la musique à fond. Mon petit, mon amour, Si tu me vois derrière la glace, Si ton petit cœur bat derrière le voile, Fais signe à ton papa (ta maman) Georges Tuadeux

Marcelle NIVEAU

Jeanne et la pâtisserie... Une vraie histoire d'amour ! Cette photo avait été prise lorsque l'on préparait les cousinades de 2016 !

Laure DUPONT

$"Souvenir
$"Souvenir

Nous avons toujours les écharpes que tu nous avais tricotées ! Un beau souvenir que nous garderons précieusement, tant tu aimais le tricot !

Famille PAULIN

$"Souvenir

Marie DUPONT

La fratrie, pour toujours !

Louis DUPONT

$"Souvenir
$"Souvenir

Je n'oublierai jamais.

Anonyme

$"Souvenir

Anonyme

Pour toi, tel que tu es endormi dans la mort, tel tu demeureras pour le reste du temps, exempt de douleur et du mal… Il faut donc demander ce qu’il peut y avoir de tellement amer si tout se ramène au sommeil et au repos, qu’on puisse se consommer dans un deuil éternel ! Toujours en effet, la vieillesse cède la place au jeune âge qui l’expulse, et les choses se renouvellent les unes aux dépens des autres suivant un ordre nécessaire. Personne ne descend dans le gouffre ténébreux du Tartare ; il faut des matériaux pour que croissent les générations nouvelles, celles-ci, à leur tour après avoir achevé leur vie, iront toutes te rejoindre. Toutes celles donc qui t’ont précédé ont déjà succombé ; de même succomberont celles qui viendront après toi. Ainsi jamais les êtres ne cesseront de naître les uns des autres, et la vie n’est la propriété de personne mais l’usufruit de tous. Landsberg

Colette TUBEAU

Pauline et toi, toujours partantes pour chanter France Gall !

Isabelle TUBEAU

$"Souvenir
$"Souvenir

La corde est brisée Nous étions toi et moi, attachés pour la vie De ces liens qui vibrent en une tendre harmonie Je n’étais que le (la) seul(e) à entendre ce chant Qui contait tes espoirs, tes joies ou tes tourments. Dans le tumulte incessant du monde alentours Tu savais créer des silences pleins d’amour Des moments où le bruit doucement s’apaisait Pour laisser percevoir des sons plus légers. Une émotion qui ne peut passer par les mots Que ta seule présence m’offrait en écho. Même si tu n’es plus, je voudrais que ce lien S’accorde toujours à mon cœur et au tien Faire comme si tu étais là, près de moi. Mais la corde est rompue et les notes sans joie Se dissipent au vent qui l’emmène déjà Vers des sphères où dit-on, se tisse l’éclat D’une musique éternelle qui chantera Un jour, de tes notes pour mon âme ici-bas. Patrick Huet

Louise DUPONT

Le souvenir Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel qui commence. C’est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à côté des siens, en attendant que j’aille l’y rejoindre, je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt. Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacun de ses battements, ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours. Ceux que nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient, mais ils sont toujours et partout où nous sommes. Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse : le souvenir.

Famille PAULIN

Toutes mes pensées vous accompagnent dans l’épreuve que vous traversez.

Franck LASSAUGE

Sachez que nous pensons bien à vous et nous nous associons à votre peine.

Martine et Paul DURAND

Nous sommes particulièrement touchés par le deuil qui vous frappe, recevez toute notre affection.

Emmanuel VANIER

$"Souvenir

Dominique WEBERT

Nous avons fait le tri dans nos photos, que de souvenirs avec toi ma chère Jeanne. Tu nous manques beaucoup.

Famille LOUBOU

$"Souvenir
$"Souvenir

Mon amour pour toujours !

Patrice BOIVIN

À tous nos moments de bonheur, ma chérie

Patrice BOIVIN

$"Souvenir
$"Souvenir

À toi mon amour, qui adorait ce poème amérindien ! A ceux que j’aime, et qui m’aiment Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j’ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m’avez apporté ! Je vous remercie pour l’amour que chacun m’a démontré ! Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous ne serons séparés que pour quelques temps ! Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et et la vie continue ! Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai ! Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là, Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai ! Quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir, Absent de mon corps, présent avec Dieu ! N’allez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la nuit ! N’allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort.

Patrice BOIVIN

Il restera de toi… Il restera de toi ce que tu as donné. Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s’est pas fanée. Ce que tu as donné, en d’autres fleurira. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera. Il restera de toi ce que tu as offert Entre les bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu Que tu as attendu plus loin que les réveils, Ce que tu as souffert, en d’autres revivra. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera. Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton coeur. Il restera de toi ce que tu as semé Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. Ce que tu as semé, en d’autres germera. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.

Dominique

$"Souvenir

Gérard COQUELIN

Je garderai dans mon coeur tous nos merveilleux moments passés ensemble, ma chère amie.

Jocelyne LEONARD

Par la mort, la famille ne se détruit pas, elle se transforme, une part d’elle va dans l’invisible. On croit que la mort est une absence, quand elle est une présence discrète. On croit qu’elle crée une infinie distance, alors qu’elle supprime toute distance, en ramenant à l’esprit ce qui se localisait dans la chair. Que de liens, elle renoue, que de barrières elle brise, que de murs elle fait crouler, que de brouillard elle dissipe, si nous le voulons bien. Vivre, c’est souvent se quitter ; Mourir, c’est se rejoindre. Ce n’est pas un paradoxe de l’affirmer. Pour ceux qui sont allés au fond de l’amour : la mort est une consécration non un châtiment.... Au fond, personne ne meurt, puisqu’on ne sort pas de Dieu. Celui qui a paru s’arrêter brusquement sur sa route, écrivain de sa vie, a seulement tourné la page. Plus il y a d’êtres qui ont quitté le foyer, plus les survivants ont d’attaches célestes. Le ciel n’est plus alors uniquement peuplé d’anges, de saints connus ou inconnus et du Dieu mystérieux. Il devient familier, c’est la maison de famille, la maison en son étage supérieur, si je puis dire et du haut en bas, le souvenir, les secours, les appels se répondent. Ainsi soit-il.

Maurice LEBASTARD

Jeanne avait toujours le mot pour rire, même dans les pires situations !

Lucille HUBERT

C'est Jeanne qui m'avait appris l'anglais lorsque j'étais à Rennes ! J'avais passé une superbe année à la fac grâce à Jeanne !

Antoine DUROU

$"Souvenir

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