Mémorial de Yann BESSOULE

Retrouvez ici tous les hommages, souvenirs et photos déposés en la mémoire de Yann BESSOULE

Très attristés par le décès de Yann avec qui nous avons partagé de bons moments. Son implication dans  la vie culturelle de Tressignaux a été appréciée par tous. Il va manquer à tous ceux qui l’ont côtoyé. Condoléances à son épouse et à sa famille. Roland et Malou

Roland et Malou SAINTROND-DAVIN

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Philippe ANZEMBERG

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Philippe ANZEMBERG

Toutes mes pensées vont à ton épouse, ta famille, tes proches, tes amis, et tous ceux qui ont aimé te côtoyer. Il me restera tous ces moments de pure rigolade aux Suppléments, de ces batailles d’élastiques. Tu auras fini ta carrière avec nous, nous régalant de ta bonne humeur. Au revoir mon Ami.

Philippe ANZEMBERG

Son prénom semblait un cri de mouette et son nom, une caresse du vent. Nous l’aimions pour ce qu’il était. Avec son charme et ses failles. Dans certaines cultures, les proches du défunt dansent et chantent pour célébrer le départ de l’aimé. Et nous aimerions , à notre manière, célébrer cet homme qui savait, mieux que personne, célébrer la vie sous toutes ses formes et surtout, surtout créer du lien . Nous aimerions croire que, malgré la souffrance des derniers moments, il a pu s’échapper dans ce rêve d’idéal de réconciliation entre les extrêmes, dans un projet fou, dans cette forme de croyance qui rassemblait les idées les plus diverses. Non, il est là, tout près comme l'écorce autour des arbres et qui nous protège et nous étreint dans cet embrassement si chaleureux qu’il renouvelait chaque fois.

Laurence et Djamel FARÈS

Yann,comment imaginer ne plus entendre tes éclats de rire,ne plus partager tous ces bons moments,avec Isabelle et toi,t’entendre raconter tes souvenirs avec Didier,raconter ta dernière blague,deviser avec sensibilité et humour sur la vie,les gens…tu vas beaucoup manquer à tous,mais quelle chance et joie de t’avoir connu cher Yann…

Cecile

Hello Yann, désolé de te déranger en ce moment, juste pour te dire que je suis en retard, comme dab, pour la photo de la Gazette d’avril. J’ ai trouvé celle là. Ça ira? Salut et fraternité Djamel

Djamel et Laurence FARÈS

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Comme tu le sais, l'écriture n'est pas ce que je fais de mieux. Toi seul pouvait me convaincre du contraire. Qu'elle tristesse d'imaginer que tu ne seras plus présent à nos côtés pour continuer cette si belle aventure qu'est le MixCafé... Ne plus entendre tes rires, tes blagues, partager ces petits moments parfois "complices" lord de nos réunions ou de nos soirées ! Le MixCafé ne sera plus vraiment le même sans toi. Le souvenir d'un homme toujours souriant restera dans notre mémoire. Bon voyage mon ami...

Magali JOUSSE

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Anonyme

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Anonyme

Yann et amitié, c’est pareil . Tu es l’incarnation d’une amitié chaleureuse aimante souriante attentive solide indéfectible. Tu es celui qui reste notre ami au profond de nos cœurs, celui qui continue à nous aider à vivre. Notre amour t’accompagne Monique et Brigitte 

Anonyme

Des souvenirs lointains chez mamie tété, avec ton pouce dans la bouche. La vie a fait que nous n'avons pas pu en créer d autres. Toutes mes condoléances à ton épouse, enfant et petits enfants et une pensée particulière a mon tonton Alain dans ce moment difficile Affectueusement

Candice BESSOULE

Nous avons eu des mots Yann, je ne t’ai pas connu longtemps, et ce n’est que trop peu. J’ignorais presque tout du mal qui te rongeait. Tu étais discret. Nos quelques occasions d’échange furent d’intenses moments de partage, autour de la littérature et de l’écriture bien sûr, mais aussi de rêves et de projets. Je ne t’ai pas connu longtemps, mais nous avons eu des mots… en toute amitié. Pendant un an, je me suis pris au jeu des mots, le rendez-vous mensuel qu’Isabelle et toi animiez pour la Gazette du Mix Café. Chaque fois, je me réjouissais de la contrainte imposée. Ce mois-ci, il était notamment question de trésor. Alors, avec ses six derniers mots sortis de votre chapeau, j’ai, pour une fois, fait particulièrement court : Efflanqués ou colossaux Un trésor de mots semés Virevoltent tous azimuts Au revoir l’ami et, où que tu sois, virevolte Patrice Le Bris – 26 mars 2024

Patrice LE BRIS

Toutes mes condoléances à la familles, les proches et les amis de Yann.

Nadine AP....

Yann, je n’ai pas eu l’occasion de te rencontrer souvent, mais j’entendais souvent parler de toi. Tu étais un garçon chaleureux, spontané, naturellement amical. Tu aimais la vie et les gens. Tu manqueras certainement beaucoup à tous ceux qui ont eu la chance de te connaître.

François-Xavier

J'avais 20 ans. Un peu sans gêne, les frangines débarquent à Rennes, Un frère, une sœur, seul trait d'union Pour cette dernière étape de Vélorution... C'était l'été, y avait ThéThé... et t'y étais ! Soirée de fin d'été... hospitalité, jovialité, spontanéité... Y avait ThéThé, et t'y étais... On s'est connu... On s'est reconnu... On a dîné... Pis on s'est pas séparé... Rennes by Night, seule avec Yann ! Visite guidée, passages secrets, porches cachés, jardins privés... Tu étais exalté, heureux de m'émerveiller... Je me sentais "moins"... Je te devinais "Trop"... Trop de tout cela, d'humour, d'amour, de joie de vivre, de soif de tout... Soif d'apprendre, de partager, d'aimer... D'aimer les choses, les gens, les idées, le beau, le vrai, le faux... Un concentré de jouvence, d'exubérance, de pétillance ! Nuit d'été hors du temps, dans les rues de Rennes... On s'est connu, on s'est reconnu... Et au matin, on s'est séparé... C'était il y a plus de 30 ans... Et depuis cet été, on s'était recroisé, sans (oser) en reparler, On s'était reconnu, on se reperdait de vue... Je lis aux mots de ceux qui t'aiment, que tu es resté le même Je pense à leurs années à tes côtés, À vos grands bonheurs, vos complicités... Comme tu vas leur manquer ! Ce soir d'été, deux p'tits Bonheurs s'étaient rencontrés... Ce songe d'une nuit d'été, qui va s'envoler... Bon Vent, Yann ! J'Yann Moreau ;)

Anonyme

Yann, Tu as rejoint Victor, rencontré dans le travail, puis vous êtes devenus amis, et tous les quatre avec Isabelle, sommes devenus amis. Nous avons partagé de bons moments ensemble. Tu étais rieur, blagueur, et surtout tu aimais nous faire partager tes lectures, écouter de la musique ou parler peinture, ou parler de tout et de rien. Tu étais un ami sincère, de grande qualité, quelqu’un de profondément généreux et authentique. Tu seras toujours dans nos coeurs et pensées. Sincères condoléances à Isabelle et à toute la famille. Claude

Claude SIMEON

4/07/2022

Claude

Mon stock t'attend toujours, camarade Yann. Que de belles batailles, jusqu'à flinguer une imprimante!

Philippe CHAPLEAU

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S'il y a bien un collègue qui nous a manqué lorsqu'il est parti en retraite, c'est bien Yann. A une période où les grands espaces de travail sont devenus impersonnels et de plus en plus silencieux, Yann, lui, amenait de la vie. De la bonne humeur, bien sûr: il n'était jamais à court d'une bonne blague (ou même d'une mauvaise, mais elles finissaient par nous faire rire tant il mettait du coeur à les raconter). Mais il apportait de la vie surtout: des histoires de pêche, son regard aiguisé sur l'actualité, sa manière non feinte de vous écouter, ses provocations bienvenues... Cet homme qui était aussi coloré que pouvaient l'être certains de ses pantalons ou de ses chaussures (quelle collection !), est de ces êtres qu'on a aimé rencontrer, avec qui on a aimé discuter et partager un verre, et dont on aime se souvenir. Un souvenir qui n'est pas prêt de s'effacer.

Pierrick BAUDAIS

Voilà la photo pour la Gazette. Ça ira? Djamal

Djamel

J'ai rencontré Yann, il y a longtemps, à travers son frère Alain. C'était juste avant qu'il n'intègre sa formation de pêche. Je garde le souvenir d'un jeune garçon chaleureux et plein d'humour. J'ai eu le plaisir de le revoir, de temps en temps, lors de réunions amicales, et me suis toujours tenu informé de son parcours. C'est avec chagrin que j'ai appris son décès et je tiens à partager avec tous les siens le sentiment d'amitié que j'éprouvais pour lui.

Jean-François BÉAGHE

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Aude

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Aude

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Aude

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Aude

Il y a presque 20 ans, sur terre, j'ai fait la rencontre d'un type. Ou plus justement, j'ai fait l'expérience de la rencontre de 3ieme type... Il faut dire que la psycho était pas mal genre originale, alors avoir la chance d'être accueillie dans son univers, c'était la promesse de folles aventures. J'étais loin du compte ! Rdv au Coquelicot. Je n'oublierai jamais ce gars qui portait des chaussures cuir carmin. 1ere leçon de style,il poussera loin le concept. A peine assise, pas le temps de respirer au 1er contact la magie opère. Je suis téléportée dans un monde parallèle où les zigomatiques et les neurones ne connaissent plus de repos. Qu'est ce qui m'est arrivé ? Je ne sais pas. J'ai été happée dans un vortex de l'absurde où la créativité et la fulgurance intellectuelle se côtoient avec grâce et bienveillance. Il est de ces rencontres dont on ressort meilleure. Des êtres brillants qui ne se la racontent pas mais qui vous content une histoire où vous vous sentez spéciale. Un jour j'ai rencontré le plus humain et chaleureux des Extra terrestres. il a modifié ma perception de la vie. Ou bien était ce l'un des plus extras des humains sur terre? Les deux sans doute. Je mesure l'immense privilège de pouvoir t'appeler "mon ami" Sois certain Yann que les membres de la communauté des "Cosses" continueront certes le cœur lourd ton œuvre. Tu brilles déjà si fort sur ta planète.

Aude

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Yvette Guy Ninon BEAUDOIN CROCHET

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Yvette Guy Ninon BEAUDOIN CROCHET

Samedi lorsque j'ai appris le décès de Yann, Ninon a sorti les albums photos et cela m'a réconfortée. Tous ces bons moments partagés,sa gentillesse, sa chaleur, sa joie de vivre, son don d'imiter les chiens ( lors d'une promenade mémorable au gué de l'épine), son art de raconter des histoires, ces fous rires irrépressibles jusqu'à en pleurer resteront dans notre mémoire. Yann, notre ami très cher va nous manquer horriblement. Guy,Yvette et Ninon.

Yvette Guy Ninon BEAUDOIN CROCHET

Un bon ami commun Nous avait présenté C'est la littérature Qui nous a rapproché Tu étais grand lecteur Enthousiaste et fécond Dans tes prises de paroles Tes lunettes sur le front Tu étais né pour dire Pour plaire et pour donner Et avec ton beau rire Tu savais consoler L'amitié était neuve Et tellement prometteuse Alors s'en est mêlé Cette garce de faucheuse Tu es parti trop vite Mais c'est en combattant En guerrier pacifiste Homme digne et vaillant Au regard profond Aux sinistres douleurs On ne sait opposer Qu'un absurde sourire Tu nous manques déjà Mais par ton souvenir Tu seras victorieux De la mort et du temps.

Jean Pierre DESVIGNE

Arrivés sur la pointe des pieds à Kermin Crec'h par le plus grand des hasards il y a 17 ans ; Isabelle et Yann ont aménagé leur joli nid douillet, mais aussi leurs relations de voisinage.Discrets , humble , observateurs au début , des liens forts se sont créés. Un coup de main en bricolage , une opération bois chez Jeanne et ça finissait toujours par un goûter enjoué. Depuis ta retraite Yann , la pêche à pied était devenue incontournable , en petite équipe biensûr . ( voisins, amis) Palourdes ou praires , coques ou ormeaux , maigre ou abondante la pêche était toujours partagée. Alors on en faisait un " modeste festin joyeux et amical " . Alors Yann tu nous refaisais la langouste , avec tes bouchons de liège dans les yeux et les petites pattes sous le nez ! Il a fallu négocier ferme pour agrandir ta bibliothèque. ( heureusement ta avais un bon allié). La place manquait un peu entre tes très nombreux livres et les peintures d'Isabelle . Pas grand bricoleur , mais lorsqu'il s'agissait d'écrire, alors la magie s'opérait. Tu devenais virtuose , jongleur, ciseleur des mots ; et c'était beau . Samedi dernier tu nous a fait une dernière pirouette pour fermer ton livre très personnel . Véronique D. Rémy L G . Message personnel pour la photo : "Opérations poulettes réussies, Je répète : Opérations poulettes réussies ".

Rémy VERONIQUE

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Solène

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Solène

Yann, je te revoie les yeux qui pétillent, à sauter sur la grande table de la rédac à Infomer et faire une révérence. À chanter, faire le pitre, te planquer derrière une plante verte pour jouer à cache-cache. Tu étais exubérant, drôle, parfois exaspérant, et on n’était jamais indifférents. Envie de te dire merci, respect, bravo… Merci parce que tu m’as reçue au marin, encouragée, aidée à croire en ma légitimité de journaliste, tu as pris le temps de reprendre avec moi mes papiers de L’ostréiculteur, pédagogue l’air de rien, et tu m’as beaucoup appris sur la pêche et le journalisme. Respect pour l’enquêteur, le passionné, le dingo, l’artiste… Bravo pour tes écrits qui prouvaient ta finesse, ce dont tu jouais à nous faire douter avec tes blagues lourdes. Heureuse d’avoir été quelques années parmi tes collègues, tes amis, ton cercle que tu égayais. Tchao ! La bise, et une grosse pensée à tes proches bien sûr. Je ne peux pas être là vendredi après-midi mais promis, je lèverais mon verre à toi le soir, ça te plaira plus que des larmes.

Solène

Yann, Je ne peux résister à un dernier mot à toi qui avais su, malgré mes réticences, me convaincre de jouer avec les mots. Attentionné comme tu l'étais, tu savais lire entre les mots. Nous n'avons pas eu, malheureusement, beaucoup l'occasion de nous voir mais nous avons beaucoup échangé sur les mots, entre les mots, parfois sur les maux, pour le plaisir des mots. Tu étais là avec tes mots quand j'étais loin et que j'en avais besoin. Toujours un mot réconfortant, bienveillant alors que tu affrontais, dignement et silencieusement, un mal sournois. Ces échanges vont me manquer. C'est tellement triste de ne plus pouvoir te dire "à bientôt pour de nouveaux mots".

Valérie

Toutes nos pensées à Isabelle et aux proches de Yann. Peu côtoyé mais à chaque fois très apprécié, nous n'avons pas saisi la gravité de son état il y a deux mois à l'occasion de la retraite de notre "voisin" qui est plus le vôtre... Pour avoir cependant partagé des échanges conviviaux et toujours teintés de "bon humour" en marchant ou à l'occasion de soirées festives, nous garderons le souvenir d'une personne pétillante et de grande qualité. Nous ne serons pas présents vendredi mais penserons fort à vous. Guénaële et Gilles

Guénaële et Gilles ROUZIC TESTU

on s'est connu il y a longtemps à Trouville, grand copain de Didier depuis cette époque, et puis tu es parti en Bretagne et moi dans le sud, et on ne s'est plus revu , (trop loin, manque de temps: excuses bidons), sauf en 2016 pour l'enterrement de papa, et là le même enchantement, un vrai plaisir de te revoir, et puis aussi un mot , que dis-je, une belle histoire pour maman. merci pour tous ces moments. Porte-toi bien là où tu vas, une grande pensée à ta famille et tes amis. Il y aura toujours un truc qui me fera penser à toi, Yann, Bessoule!

Frédérique VESSERON

Deux frangins ..

Cecile

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Anonyme

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Pauline

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Pauline

Pour moi Yann sera toujours indissociable de la belle bande d'amis dont ma mère Aude fait partie. Depuis mon enfance, je suis témoins de la majorité de leurs retrouvailles, de leurs rires et de leurs délires. C'est par l'intermédiaire de ma mère que j'ai eu la chance de rencontrer Yann. Et c'est grâce à ces multiples occasions que j'ai appris à le connaître, ainsi que chacune des autres figures de cette bande. De mon enfance, j'en garde l'image d'un personnage drôle au rire inimitable, joueur et d'une extrême gentillesse. Près de 20 ans plus tard, je me rappelle aussi d'un homme et d'un ami à l'écoute, solaire et toujours prêt à saisir l'opportunité de délirer.

Pauline

Salut l'Ami Yann. Il nous faut maintenant attendre la fin de l'histoire dont nous avons perdu le fil mais nous nous souviendrons à coup sûr de toutes celles partagées au Mix dans de grands éclats de rire. Nous n'oublierons pas non plus les pêches miraculeuses et l'abondance de saint- jacques, couteaux, palourdes et autre coquillages qui n'avaient qu'à bien se tenir. De quoi remplir un tout petit panier sans risquer de piller la ressource mais surtout de respirer ensemble et sans modération, un grand bol d'air de bonheur avant que le Grand Chef puisse mitonner ses petits plats. Avec Isabelle, vous saviez aussi être l'âme réconfortante qui fait du bien lors de passages plus difficiles de la vie. Heureux et un grand merci d'avoir connus et partagé tous ces instants malheureusement trop courts. À tous tes proches, à tes amis, mes condoléances les plus attristées. Dédé.

Anonyme

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Yann, mon ami Apprendre le même jour ta maladie et ton décès: quel choc ! Ne pas avoir pu te parler une dernière fois: que de regrets ! La distance géographique nous avait un peu éloignés l'un de l'autre. Mais avant, pendant les années Ouest-France, que de bons moments nous avons vécus ensemble ! Que de conversations enflammées au resto, à la maison ou en voiture, sur la politique, le journal ou le foot... Et que d'éclats de rire, évidemment ! Je suis de ceux qui ont eu le privilège de connaître et apprécier les deux Yann : l'amuseur public, le raconteur d'histoires, le semeur de bons mots... mais aussi le confident, l'ami cultivé qui savait écouter, comprendre, partager, soutenir dans les moments difficiles. Je ne l'oublierai jamais. Mes pensées les plus amicales à toi, Isabelle, frappée une nouvelle fois par la perte de l'être aimé. Mes sincères condoléances à toute la famille et à cette bande du Mix Café que je n'ai pas connue mais au milieu de laquelle je sais que Yann a savouré une belle retraite, hélas beaucoup trop courte.

Alain PEUDENIER

Yann, Comme tous tes amis et les gens qui t'ont connu , l'annonce de ton décès m'a bouleversé. Yann m'a énormément appris lors des soirées lecture au Mix Café, on échangeait tous ensemble, on s'écoutait. Yann animait nos soirées avec plaisir, et considérait chacun avec respect et intérêt. On refaisait le monde, il était passionnant. Il va nous manquer, je pense beaucoup à Isabelle et sa famille . C'est tellement douloureux. Merci Yann pour ce que tu nous as apporté. Catherine

Catherine HÉRISSON

Cher Yann, notre ami, Tu aimais la vie. Tu débordais de vie. Tu aimais les polars américains, les Tontons flingueurs, Franck Zappa, Bill Evans et Cat Power. Tu aimais les bleus de la mer, ses gris, ses verts. Tu aimais aussi les couleurs chaudes de l'été, que tu arborais, de pied en cap, avec délice. Tu étais solaire, Yann. Tu aimais les mots, les dire, les écrire. Tu aimais les arbres, les livres et l'art sous toutes ses formes. Tu étais ouvert sur le monde, curieux de tout. Et nous, tes chéris, tes z'amours, tes poteaux, tes amis, nous t'aimions. Nous aimions tes éclats de rire, ta verve, tes pitreries, tes exubérances. Car, entre le trop et le pas assez, tu avais choisi ton camp. Nous aimions ta présence chaleureuse et enveloppante, ton regard sensible et bienveillant. Tu avais le goût des autres, Yann. Nous aimions aussi tes silences, quand parfois, tu devenais rêveur solitaire. Nous aimions tes chemins de traverse, loin des sentiers battus. Tu étais doué pour la vie, et pourtant, elle t'a lâchement laissé tomber. Désormais, début décembre, je compterai seule les années. Bon vent, Yann, notre ami cher, la mer est agitée, mais tu sais affronter la tempête. Et nous, nous allons te garder précieusement, au chaud, au creux de nous.

Mino et Nano ESNAULT

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Yann c était la gentillesse, l empathie, l'écoute, le bon mot et même les bons mots toujours bien placés. Des qualités qu'il avait mises au service du Mix Café pour qui il a tant fait, rêvé, imaginé et réalisé. Un homme qu'on est fier d avoir côtoyé. Toutes mes amitiés vont à Isabelle, sa famille et leurs amis tant peinés de ce départ.

Michele GICQUEL

Souvenir de bonnes marrades avec Yann, dont la chaleur et la générosité me touchaient beaucoup. Et de chansons partagées au micro, aussi, à gorge déployée...

Claire THÉVENOUX

J'ai rencontré Yann à Deauville Loisirs par l'intermédiaire de mon ami Didier. Nous avons passé de bons moments tous ensemble de 1973 à 1977. Puis nos chemins se sont séparés... Condoléances à la famille. Patrick LECOUFLE

Patrick LECOUFLE

Yann, Il est difficile de dire des mots à la hauteur des souvenirs partagés tous ensemble et puis les mots, toi tu savais les manier! Il y a 18 ans par le travail, Isabelle nous a permis de te rencontrer et là tu as fait ton entrée "tonitruante" ( petit clin d'oeil). Cette soirée n'a été que le début de plein d'autres moments de rire, d'histoire plus ou moins rocambolesques...tous ensemble avec notre petit groupe on en a eu des fou rires et (comme beaucoup en témoignent) tu n'étais pas le dernier.... MERCI MERCI pour tous ces beaux moments vécus tous ensemble, nos weekends...Merci aussi pour ta bienveillance.Tu nous a protégé au maximum, de ce mal qui te rongeait. Au-revoir Yann, tu resteras là présent dans tous nos souvenirs et on sera là pour Isabelle formidable comme tu le disais.

Laëtitia

Yann Bessoule était (comme cela est choquant d'employer le passé !) incontestablement un grand journaliste, un fin connaisseur de la mer, des entreprises maritimes, des marins, des armateurs, de toutes les structures qui interviennent, de tout ce milieu riche et diversifié; il en parlait -et l'écrivait- avec justesse, rigueur, compétence et sans doute une forte dose de passion. Mais c'était aussi -et surtout- un bel ami, fidèle, discret, délicat, diplomate, à l'esprit vif et parfois incisif; il aimait les rapports francs et directs. Les conversations et les moments passés avec lui étaient captivants et étaient source de réflexions. A coup sûr il restera longtemps dans nos mémoires.

Michel LE BOLLOCH

Yann, Nos rencontres n'ont pas été très nombreuses, mais à chaque fois accompagnées d'une belle joie de vivre ! C'est ce que l'on retiendra de toi, Yann, un homme drôle et amuseur, intéressé par les gens qui l'entourent. Nous n'avons jamais repris notre discussion sur Enki Bilal, que tu nous as fait découvrir....mais nous continuerons à y réfléchir en regardant ses dessins. Hubert et Fany

Hubert et Stéphanie CATROUX

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Anne-Claire

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Anne-Claire

Que de bons souvenirs, de boutades, de taquineries, depuis que tu as passé la porte du Mix Café avec ton scooter et ta vareuse rose ! Le Mix ne serait pas devenu ce qu'il est sans toi, qui avait une façon d'analyser les choses et de voir plus loin que tout le monde ! Grosse peine pour l'équipe, grosse peine pour moi. Profite bien de la bibliothèque et de la bonne musique là-haut, on se retrouvera pour des soirées lecture célestes, tu auras encore une longueur d'avance...

Anne-Claire

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Merci pour tout l'amour que tu as infusé au Mix Café, merci pour tous ces rêves immenses, les projets grandioses et (en apparence) irréalisables que tu balançais toutes les dix secondes en réunion, merci pour tes discours enflammés, ta mémoire parfois sélective et toutes tes marottes. Promis, on va les faire, ce festival de théâtre, ce concert de Dusk Whistler et cette table géante dans Tressignaux. Après tout, on a bien monté un fest-noz. Ça non plus je n'y croyais pas tout à fait au début, mais toi si, à fond, et c'était trop bien, et on va recommencer – mais sans toi, cette fois-ci. Jette-nous plein d'étoiles depuis là-haut, qu'on puisse danser toute la nuit dans l'air léger.

Pascaline

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Claude

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Claude

Fin gourmet et rêveur

Claude

Mes sincères condoléances à vous Isabelle et Kevin, et aux proches de Yann, très grand ami de toujours de mon père et qui va beaucoup lui manquer.

Nina DALLOT

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Raphaëlle DALLOT

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Raphaëlle DALLOT

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Raphaëlle DALLOT

A mon parrain, De ma felouque sur le Nil, je vais tenter de trouver les mots, les mots qu’il faut Tu m’ouvrais les portes de ta maison constamment, et une fois, tu m’as ouvert les portes de la rédaction du Marin Après la pige, tu m’avais fait bosser sur un article au sujet d’un naufrage Scrutant l’ouverture, l’information, le ton, le choix des mots, et me guidant avec rigueur, expertise et passion, j’avais dû reprendre mon texte une bonne vingtaine de fois pour que tu décides, généreusement, qu’il ferait la couverture cette semaine Tu confortais et enveloppais avec ton rire unique, ton humour, tes mots justes et drôles, tes pitreries, ta culture, ton sourire tendre et ton écoute bienveillante Avec toi, Yann, il y avait toujours une finesse dans tes blagues les plus grotesques J’aimais t’endendre refaire le monde avec mon père J’aimais vous imaginer tous les deux à faire les 400 coups, adolescents, sur le port de Trouville J’aimais vous regarder vous bidonner pendant des heures toi et mes parents J’aimais savoir que vous vous êtiez récemment rassemblés autour des arts avec Vincent au Mix Cafe J’aimais les mots réconfortants que tu as eu pour Mamie Coco Tu avais le goût des autres Le goût de exhubérance et de l’extravagance Le goût des mots Et tes rêves marin Maintenant tu as pris le large, mais tu restes dans mon coeur toujours Le vent chaud souffle sur les berges du Nil

Raphaëlle DALLOT

“J'aimerais trouver les mots Les mots justes, les mots qu'il faut Tous les mots sont démodés Tu sais Alors j'écris, je cherche encore Le mot vrai, le mot fort J'ai l'impression qu'j'trouverai jamais Oh, hey, je sèche comme tu vois Et toi Tu me dis qu'elle est mélo Tu me dis qu'elle est mélo, ma mélodie Tu me dis qu'elle est mélo Tu me dis qu'elle est mélo, ma mélodie Tu me dis qu'elle est mélo Qu'elle est mélo, ma mélodie La musique de tes mots S'impose, s'installe sur ce thème Je t'aime” Paroles de Ma Mélodie de -M-

Raphaëlle DALLOT

"Bonjour Carol, comment t'appelles-tu ?" : c'est toujours ainsi que tu me disais bonjour...C'était chouette de bosser avec toi Yann, mais je retiendrai surtout les rires et les batailles d'élastique (d'ailleurs, il en reste à la Doc...). C'était impossible de ne pas rigoler à tes blagues, et je pense à la célèbre Une de Libé :"C'est un mec, y meurt", mais pour la première fois, ton histoire ne me fait pas rire. Avec tristesse, j'ai une pensée pour ta famille et tes proches. Carol.

Carol DAVID

Yann, Quelle tristesse d'apprendre ton décès, toi qui nous faisais tant rire! Avec toi les conférences de rédaction se transformaient en concours de bons mots et de grosses blagues, c'était plus festif. Toi qui étais toujours gentil et attentif, je garde le souvenir des conversations quand je te ramenais en ville après le travail, toi qui n'avais pas le permis, une originalité dans notre milieu de journaliste, et ce n'était pas la seule! Une pensée sincère pour tes proches, ton épouse, ton fils et tes petits-enfants qui te rendaient si heureux, et merci encore d'avoir fait souffler un vent si joyeux sur la rédaction. Florence

Florence PITARD

Merci Yann pour ces années de bonne humeur et d'humour qui nous manquent toujours. Tu étais tellement vivant, difficile d'imaginer que tu ne le sois plus. Repose en paix où que tu sois, près de la mer de préférence. "Un jour bientôt peut-être. Un jour j'arracherai l'ancre qui tient mon navire loin des mers" Toute ma sympathie à la famille de Yann dont il était si fier et dont il aimait tant parler.

Nathalie GUÉRIN

Yann... je ne t'ai jamais oublié. Nos éclats de rire résonnent encore quand je repense à ces années passées à tes côtés au Marin. J'étais le mousse et tu m'as appris le métier. Ensuite j'ai changé de boutique.. on s'est retrouvé sur FB. Je m'étais promis de venir te voir. J'ai trop attendu et je le regrette. On se reverra sûrement au paradis des plumitifs. Je t'embrasse. Didier.

Didier DENIEL

Yann, merci pour tout ce que tu as apporté à Tressignaux, au MixCafé et, en particulier, lors de mon exposition de peintures en mai 2023 (la première qui me fut entièrement consacrée). Merci pour ton professionnalisme et ton dévouement envers les habitants de la commune. Mes sincères condoléances à ta famille. Michèle Latour, de Rouen

Michèle LATOUR

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Yann, beaucoup de pensées pour toi en cette fin de semaine et toute les équipes du Marin et Infomer, que j’ai eu la chance de côtoyer quand j’étais majordome à Ouest France, tes sourires malicieux, tes rires puissants, tes cravates en forme de poissons, des soirées XXL pour des diffusions de match européen ou des soirées d’équipes, des bouclages qui trainaient sur la fin de journée. Toujours ton attention à l’autre, ton exigence professionnelle. Toute mon amitié a jamais.

Jean Michel SEBILLET

Yann, tu vas tant nous manquer. J’avais fait ta connaissance lors d’un reportage à bord du sous-marin nucléaire L’Inflexible. Autant dire que la traversée ne fut pas banale. Par la suite, je t’avais rendu visite à Tressignaux avec mes deux filles et nous ne nous étions pas ennuyés. L’après-midi avait vite passé. Malheureusement, notre conversation autour de Robert-Louis Stevenson restera sans suite. Mais j’espère que ton esprit facétieux, ton insatiable curiosité et ton amour de la vie vont continuer de nous inspirer. Mes plus sincères condoléances à Isabelle, à ta famille et à tous ceux qui t’aimaient.

Olivier MÉLENNEC

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Pourquoi tu n'as pas dit que tu étais malade, Yannou ? Est-ce que c'était par pudeur ? Pour ne pas inquiéter tes proches ? Mais tu avais tranché, comme tu savais faire : "Un jour, les gens apprendront que je suis mort, et puis voilà". Tu as dû décider que ton cancer n'était pas un bon sujet de conversation. Les conversations tristes, c'était pas ton truc. Te plaindre non plus. On dit tous : "La vie est dure". "La vie est injuste". Heureusement, on dit aussi, parfois : "La vie est belle". Mais toi, tu disais : "La vie est intéressante". Tu es la seule personne que j'aie entendu répéter cela : "la vie est intéressante". Quand tu voulais dire la vie, tu voulais dire les gens. Les journalistes veulent décrocher des scoops. C'est normal. D'ailleurs tu en as sorti quelques-uns. Mais ce que tu recherchais davantage, c'était des nouveaux copains. Quand tu es parti en reportage sur la "Jeanne d'Arc", tu y as vite été comme un poisson dans l'eau. Avec toi, la "Jeanne", comme le Paris d'Hemingway, était devenue une fête. A l'annonce de ta mort, c'est fou le nombre de gens qui ont voulu parler, se souvenir de toi. Et puis chacun repartait, en savourant ce qui restait des bons moments. Le silence après Bessoule, c'est encore du Bessoule... Maintenant, tu dois être quelque part sur un grand bateau, une sorte de "Jeanne". Et je suis sûr qu'à bord, ils doivent bien se marrer.

André THOMAS

Nous nous rappelons des apéros et des dîners dans votre salon chaleureux, sous fond de jazz, ponctués d’imitations, de grimaces, de blagues et nous ne pouvions plus nous arrêter de rire, parfois au désarroi d’Isabelle :  « Oh Yann ! ». Ton originalité nous a inspiré, tu nous emmenais dans ton monde et nous te suivions avec grand plaisir. Par des films qui ont marqué notre enfance et notre adolescence : Il était une fois dans l’Ouest, le bon la brute et le truand, les films de Bourvil, ou Ventura. Par des objets invraisemblables, dénichés je ne sais où. Par des récits de voyages et aventures improbables. Tu as participé à notre construction, avec Isabelle, par ton soutien, ton écoute et tes conseils, conseils qui résonnent encore. Alors merci pour les anecdotes, les récits, les livres, les films, la musique et l’inspiration. Tu étais un peu notre tonton flingueur.

Apolline & Léane

"Craque ma poule comme on dit à Paimpol en remontant les filets"...j'ai gardé de lui cette expression qu'il m'avait partagée lors de notre co navigation à Chantepie...et le soir de l'incendie du Parlement, je crois bien que nous étions ensemble avec lui et Colette David chez notre cher Fred Giroud...cela sentait le brûlé at son balcon de la place Ste Anne, alors des gars sont partis voir "au cas où...". On connaît la suite - fantastique - éditoriale.... Amzer zo Yann... Da Viken...a tatôt.

Christine DUCHESNE

Bonjour Alain et à vous tous ! Venant d’apprendre ce matin par Isabelle la triste nouvelle . Nous sommes tous tres tres triste et moi tout à fait boulversé par cette soudaine disparition ! Milles souvenirs remontent avec quelques larmes de profonds chagrin . Désolé de n’avoir pas pu être des vôtres lors de la cérémonie à St Brieuc . J’aurais aimé lui rendre un dernier hommage ! Mais je ne sais comment ni pourquoi votre message ne mets pas parvenu ? Désolé de nouveau ! Veuillez accepter nos plus sincères condoléances et l’expression de notre profondes amitiés dans ces moments tres difficiles ! A Dieu Vat ! Kenavo ! PS : mon numero 0671094120

Sylvie et daniel LAVEANT

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Pascal PIRIOU

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Pascal PIRIOU

Yann Bessoule… Il était un journaliste de talent, de ceux qui savent écrire bien sûr mais surtout de ceux qui savent écouter, te faire dire, de ceux qui savent tout entendre, secrets compris, pour comprendre et restituer l’essentiel sans chercher le sensationnel. Il aimait comprendre pour faire comprendre. On lui parlait parce qu’il aimait les gens et ses papiers le démontraient à chaque fois. Il était la plume du maritime chez Ouest France mais plus que ça, c’était l’ami de tous ceux qui vivent sur et avec la mer. C’était mon ami… Bon vent belle mer mon Yann… Une énorme pensée pour Isabelle, ton âme sœur, ta famille et tes amis de Tressignaux, de la part de tes potes de Concarneau, de Sète, de La Désirade, de Marseille,… et du monde entier.

Pascal PIRIOU

Mon Yanou, quand tu as débarqué à la Rédac au 114 Champs-Elysées, une famille t'attendait. DH et BLS t'ont appris le métier, Bubu habitait le bureau d'à côté, il y avait aussi les grandes figures tutélaires, Patrick Le Dantec et Pierre Joly, le Grand Daniel qui nous croquait si bien en photo, et Annie, et la grande Christine, et M. Benahmou. Tu t'y es trouvé comme un poisson dans l'eau et très vite, tu as plongé dans le grand bain du Marin, à Rennes, puis sur le plateau. Ca me console un peu de penser que, là haut, tu vas retrouver ton Nanar que tu aimais tant, et que vous irez boire une mousse en riant, comme avant, au Quick, après le bouclage. Toutes mes pensées à Isabelle, à vos enfants, à ta famille, ton sourire ne nous quittera pas. Ta Fred

Frédérique JOURDAA

Quand André m’a appelé il y a huit jours j’ai été sonnée. Comment imaginer que le roc qu’on connaissait tous disparaisse comme ça s’en prévenir, ou plutôt sans avoir voulu prévenir. Mais je te reconnais bien là. Je n’étais pas là vendredi mais j’ai bien pensé à tous tes proches réunis dans ta petite commune d’adoption dont tu parlais tant. Des souvenirs j’en aurais beaucoup à raconter car on s’est quand même côtoyé quelques années. Mais je n’évoquerais que mon rôle de taxi qui nous a permis de tant discuter le soir en rentrant de la rédaction du marin puis après le matin quand je te chopais à l’abri de bus Liberté pour te déposer à la « guérite » d’OF. On a beaucoup parlé et surtout beaucoup rigolé lors de ces moments, au grand dam de certains piétons ou vélos qui ont dû avoir chaud aux fesses parfois. Merci donc de ne pas avoir eu ton permis Mais merci surtout d’avoir croisé ma route. Catherine

Catherine BALLOT

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Très cher Yann, Tellement de souvenirs de franches rigolades, déconnades avec tes frères, mon frère et ma sœur dès notre plus jeune enfance rue de la Station à Franconville, puis adolescence jeunesse rue des Bains à Trouville, vacances mémorables au Grand Bornand.. Il y a un petit plus d'un an, tu m'as dit au téléphone il faut que l'on se revoit, je ne pensais pas que ce serait de cette façon... Ton rire, ton air malicieux etc.. tout me manque et laisse la place à un énorme vide... Christine

Christine LEGRAND PAILLIOTTIN

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Claude TARIN

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Claude TARIN

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Claude TARIN

Qu’ajouter à tous ces hommages qui t’ont été spontanément rendus, si ce n’est que je regrette, moi aussi, ton départ précipité vers cet ailleurs d’où on ne revient pas. A moins que, usant une nouvelle fois de ton habileté légendaire à tirer les vers du nez, tu finisses par nous prouver, quitte à en être le premier surpris, qu’il y a un ailleurs. À regret, nous nous sommes perdus de vue. J’aurais préféré te revoir dans d’autres circonstances, mais je veux croire qu’Isabelle aura été réconfortée par cette chaleur humaine que tu as générée et qui l’a entourée ce vendredi 1er avril. J’aimerais la convaincre que l’on ne meurt jamais quand, soi-même, on a aimé et su se faire aimer. Oui, Yann, tu parlais vrai quand tu disais :« La vie ? C’est intéressant ». Tu as trouvé chaussure à ton pied en quittant les bottes pour te faire journaliste. Quand on a déjà en soi le goût des autres, on est armé pour aller à la pêche de l’information. Pêche il y eut ; elle fut fructueuse et bénéfique pour la flottille Ouest-France. Il y aurait mille autres à choses à dire sur ton compte, mais je ne veux retenir, ce jour, que cet aspect de toi que je viens de découvrir. Il m’a fallu attendre que tu tires ta révérence pour apprendre que ce goût des autres tu as continué à le faire fructifier dans ton village d’adoption. Tu peux lâcher le crayon. Mission accomplie.

Claude TARIN

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Bernard JÉGOU

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Bernard JÉGOU

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Bernard JÉGOU

Avoir un bon copain, c’est une chanson que Yann chantait avec entrain. Et c'était un bon copain. Yann a d’abord été un collègue, dès 1987. Il était pigiste du marin à Paris, j'étais auxiliaire à la page marine d’Ouest-France, réceptionnant les papiers d’un de ses mentors, Bernard Le Solleu. On s’est retrouvés ensuite concurrents, quand j’étais à EcoPêche à Quimper, et encore quand Ouest-France a racheté ce mensuel pour le marier à France-Pêche. L’actionnaire était le même mais Yann prenait un malin plaisir à nous mettre des râteaux. Qu’importe, le soir, on se retrouvait chez lui rue Vasselot, pour regarder les Guignols et le foot sur Canal, devant des pizzas. On poursuivait (trop) souvent au whisky-cigarettes, sur fond de Nougaro et/ou de Zappa. À la fin de FranceEcopêche, il est devenu mon chef au marin. Avec de l’autorité, sans trop d’autoritarisme. Si le syndicaliste pouvait l’emmerder, on était d'accord sur le boulot et les après-bouclages restaient "conviviaux". Depuis son départ à Ouest-France (près de 15 ans déjà…), on se voyait parfois le soir, de la guérite à son arrêt de bus, moi à vélo et lui à pied, prenant des nouvelles des collègues et des amis. Des amis, j'ai vu qu'il avait réussi à s'en faire de nouveaux à Tressignaux, au Mix café, et à en devenir le président. Pas étonnant. Même chef, il avait toujours su rester un sacré bon copain.

Bernard JÉGOU

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Yann, à l'occasion de la cérémonie du 50e anniversaire des chantiers Piriou. Il se rendait régulièrement dans cette entreprise de Concarneau, pour le travail mais pas seulement.

André THOMAS

En souvenir de tous les bons moments passés a Trouville - Deauville (il y en a eu tellement) quand tu travaillais sur Le Gros Loulou et puis faisait la fête avec nous. On ne t'oublira pas.

Hugues LE ROUX

quand on s'est rencontré, je ne voulais pas de père et Yann ne voulait pas d'enfant. Mais comme dans toute histoire d'amour, cela vous tombe dessus quand vous vous y attendez le moins. C'est quand maman est devenue marraine d'Anton qu'elle a rencontré le parrain, Yann. Tout ce que je savais , c'est que leurs ex respectifs, Patrick et Odile, avaient décidé de leur faire cet honneur. ce dont je ne pouvais pas me douter, c'est que ces deux cupidons allaient poser les bases d'un amour du feu de Dieu. A cette époque, tout ce qui m'importait, c'était de savoir ma mère entre de bonnes mains et très vite , je me suis rendu compte que Yann était aussi fou que ma mère mais surtout qu'il l'aimait passionnément. Petit à petit, il tourna une femme qui se disait antiromantique par excellence en une romantique au coeur de guimauve. il a fait tombé les barrières et l'armure de ma mère et elle s'est épanouie, s'est libérée et s'est laissé aimer, vraiment aimer et de l'amour, elle en avait . On ne choisit pas qui on appelle père ou mère , Yann est devenu mon père bien avant qu'il m'adopte. Il était un grand père , un parrain et un oncle fabuleux. Il nous laisse sa philosophie de vie faite de joie de vivre, d'amour et d'une bonne dose folie, chérissez ses mots, souvenez vous de ses histoires pour qu'il continue de vivre en vous. Son souhait le plus cher était de ne pas vous abandonner.

kevin ROBIN-BESSOULE