Tous les hommages rendus à Yann BESSOULE

Retrouvez ici tous les hommages, souvenirs et photos déposés en la mémoire de Yann BESSOULE

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Créez un album collaboratif en réunissant les hommages à Yann BESSOULE, pour vous ou pour une délicate attention.

YANN BESSOULE

1958 - 2024

$"Profil

Très attristés par le décès de Yann avec qui nous avons partagé de bons moments.
Son implication dans  la vie culturelle de Tressignaux a été appréciée par tous.
Il va manquer à tous ceux qui l’ont côtoyé.
Condoléances à son épouse et à sa famille.
Roland et Malou

Roland et Malou SAINTROND-DAVIN

$"Souvenir

Philippe ANZEMBERG

$"Souvenir

Philippe ANZEMBERG

Toutes mes pensées vont à ton épouse, ta
famille, tes proches, tes amis, et tous ceux
qui ont aimé te côtoyer.
Il me restera tous ces moments de pure
rigolade aux Suppléments, de ces batailles
d’élastiques. Tu auras fini ta carrière avec
nous, nous régalant de ta bonne humeur.
Au revoir mon Ami.

Philippe ANZEMBERG

Son prénom semblait un cri de mouette
et son nom, une caresse du vent.
Nous l’aimions pour ce qu’il était.
Avec son charme et ses failles.
Dans certaines cultures, les proches du
défunt dansent et chantent pour
célébrer le départ de l’aimé.
Et nous aimerions , à notre manière,
célébrer cet homme qui savait, mieux
que personne, célébrer la vie sous
toutes ses formes et surtout, surtout
créer du lien . Nous aimerions croire
que, malgré la souffrance des derniers
moments, il a pu s’échapper dans ce
rêve d’idéal de réconciliation entre les
extrêmes, dans un projet fou, dans
cette forme de croyance qui
rassemblait les idées les plus diverses.
Non, il est là, tout près comme l'écorce
autour des arbres et qui nous protège
et nous étreint dans cet embrassement
si chaleureux qu’il renouvelait chaque
fois.

Laurence et Djamel FARÈS

Yann,comment imaginer ne plus
entendre tes éclats de rire,ne plus
partager tous ces bons moments,avec
Isabelle et toi,t’entendre raconter tes
souvenirs avec Didier,raconter ta
dernière blague,deviser avec sensibilité
et humour sur la vie,les gens…tu vas
beaucoup manquer à tous,mais quelle
chance et joie de t’avoir connu cher
Yann…

Cecile

Hello Yann, désolé de te déranger en ce
moment, juste pour te dire que je suis
en retard, comme dab, pour la photo de
la Gazette d’avril. J’ ai trouvé celle là. Ça
ira?
Salut et fraternité
Djamel

Djamel et Laurence FARÈS

$"Souvenir

Comme tu le sais, l'écriture n'est pas ce que je fais de mieux. Toi seul pouvait me convaincre du contraire. Qu'elle tristesse d'imaginer que tu ne seras plus présent à nos côtés pour continuer cette si belle aventure qu'est le MixCafé... Ne plus entendre tes rires, tes blagues, partager ces petits moments parfois "complices" lord de nos réunions ou de nos soirées ! Le MixCafé ne sera plus vraiment le même sans toi. Le souvenir d'un homme toujours souriant restera dans notre mémoire. Bon voyage mon ami...

Magali JOUSSE

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Anonyme

$"Souvenir

Anonyme

Yann et amitié, c’est pareil . Tu es
l’incarnation d’une amitié chaleureuse
aimante souriante attentive solide
indéfectible. Tu es celui qui reste notre
ami au profond de nos cœurs, celui qui
continue à nous aider à vivre.
Notre amour t’accompagne
Monique et Brigitte

Anonyme

Des souvenirs lointains chez mamie tété,
avec ton pouce dans la bouche.
La vie a fait que nous n'avons pas pu en créer
d autres.
Toutes mes condoléances à ton épouse,
enfant et petits enfants et une pensée
particulière a mon tonton Alain dans ce
moment difficile
Affectueusement

Candice BESSOULE

Nous avons eu des mots

Yann, je ne t’ai pas connu longtemps, et ce n’est que trop peu. J’ignorais presque tout du mal qui te rongeait. Tu étais discret. Nos
quelques occasions d’échange furent d’intenses moments de partage, autour de la littérature et de l’écriture bien sûr, mais aussi de
rêves et de projets.

Je ne t’ai pas connu longtemps, mais nous avons eu des mots… en toute amitié.

Pendant un an, je me suis pris au jeu des mots, le rendez-vous mensuel qu’Isabelle et toi animiez pour la Gazette du Mix Café.
Chaque fois, je me réjouissais de la contrainte imposée. Ce mois-ci, il était notamment question de trésor. Alors, avec ses six
derniers mots sortis de votre chapeau, j’ai, pour une fois, fait particulièrement court :

Efflanqués ou colossaux
Un trésor de mots semés
Virevoltent tous azimuts

Au revoir l’ami
et, où que tu sois, virevolte

Patrice Le Bris – 26 mars 2024

Patrice LE BRIS

Toutes mes condoléances à la
familles, les proches et les amis
de Yann.

Nadine AP....

Yann, je n’ai pas eu l’occasion de te
rencontrer souvent, mais j’entendais
souvent parler de toi. Tu étais un garçon
chaleureux, spontané, naturellement
amical. Tu aimais la vie et les gens. Tu
manqueras certainement beaucoup à
tous ceux qui ont eu la chance de te
connaître.

François-Xavier

J'avais 20 ans.
Un peu sans gêne, les frangines débarquent à Rennes,
Un frère, une sœur, seul trait d'union
Pour cette dernière étape de Vélorution...
C'était l'été, y avait ThéThé... et t'y étais !
Soirée de fin d'été... hospitalité, jovialité, spontanéité...
Y avait ThéThé, et t'y étais...

On s'est connu... On s'est reconnu... On a dîné... Pis on s'est pas séparé...
Rennes by Night, seule avec Yann !
Visite guidée, passages secrets, porches cachés, jardins privés... Tu étais exalté, heureux de m'émerveiller...
Je me sentais "moins"... Je te devinais "Trop"...
Trop de tout cela, d'humour, d'amour, de joie de vivre, de soif de tout...
Soif d'apprendre, de partager, d'aimer... D'aimer les choses, les gens, les idées, le beau, le vrai, le faux...
Un concentré de jouvence, d'exubérance, de pétillance !
Nuit d'été hors du temps, dans les rues de Rennes...
On s'est connu, on s'est reconnu...
Et au matin, on s'est séparé...
C'était il y a plus de 30 ans...
Et depuis cet été, on s'était recroisé, sans (oser) en reparler,
On s'était reconnu, on se reperdait de vue...
Je lis aux mots de ceux qui t'aiment, que tu es resté le même
Je pense à leurs années à tes côtés,
À vos grands bonheurs, vos complicités...
Comme tu vas leur manquer !
Ce soir d'été, deux p'tits Bonheurs s'étaient rencontrés...
Ce songe d'une nuit d'été, qui va s'envoler...
Bon Vent, Yann !
J'Yann Moreau ;)

Anonyme

Yann,
Tu as rejoint Victor, rencontré dans le travail, puis vous êtes devenus amis, et tous les quatre avec Isabelle,
sommes devenus amis.
Nous avons partagé de bons moments ensemble.
Tu étais rieur, blagueur, et surtout tu aimais nous faire partager tes lectures, écouter de la musique ou
parler peinture, ou parler de tout et de rien.
Tu étais un ami sincère, de grande qualité, quelqu’un de profondément généreux et authentique.
Tu seras toujours dans nos coeurs et pensées.
Sincères condoléances à Isabelle et à toute la famille.
Claude

Claude SIMEON

4/07/2022

Claude

Mon stock t'attend toujours, camarade Yann. Que de belles batailles, jusqu'à flinguer une imprimante!

Philippe CHAPLEAU

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$"Souvenir

S'il y a bien un collègue qui nous a manqué lorsqu'il est parti en retraite, c'est bien Yann. A une période où les grands espaces de
travail sont devenus impersonnels et de plus en plus silencieux, Yann, lui, amenait de la vie. De la bonne humeur, bien sûr: il n'était
jamais à court d'une bonne blague (ou même d'une mauvaise, mais elles finissaient par nous faire rire tant il mettait du coeur à les
raconter). Mais il apportait de la vie surtout: des histoires de pêche, son regard aiguisé sur l'actualité, sa manière non feinte de
vous écouter, ses provocations bienvenues... Cet homme qui était aussi coloré que pouvaient l'être certains de ses pantalons ou
de ses chaussures (quelle collection !), est de ces êtres qu'on a aimé rencontrer, avec qui on a aimé discuter et partager un verre,
et dont on aime se souvenir. Un souvenir qui n'est pas prêt de s'effacer.

Pierrick BAUDAIS

Voilà la photo pour la Gazette. Ça ira?
Djamal

Djamel

J'ai rencontré Yann, il y a longtemps,
à travers son frère Alain. C'était juste
avant qu'il n'intègre sa formation de
pêche. Je garde le souvenir d'un jeune
garçon chaleureux et plein d'humour.

J'ai eu le plaisir de le revoir, de temps
en temps, lors de réunions amicales,
et me suis toujours tenu informé de
son parcours.

C'est avec chagrin que j'ai appris son
décès et je tiens à partager avec tous
les siens le sentiment d'amitié que
j'éprouvais pour lui.

Jean-François BÉAGHE

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Aude

$"Souvenir

Aude

$"Souvenir

Aude

$"Souvenir

Aude

Il y a presque 20 ans, sur terre, j'ai fait la
rencontre d'un type.
Ou plus justement, j'ai fait l'expérience de la
rencontre de 3ieme type...
Il faut dire que la psycho était pas mal genre
originale, alors avoir la chance d'être
accueillie dans son univers, c'était la
promesse de folles aventures.
J'étais loin du compte !
Rdv au Coquelicot. Je n'oublierai jamais ce
gars qui portait des chaussures cuir carmin.
1ere leçon de style,il poussera loin le
concept.
A peine assise, pas le temps de respirer au
1er contact la magie opère.
Je suis téléportée dans un monde parallèle
où les zigomatiques et les neurones ne
connaissent plus de repos.
Qu'est ce qui m'est arrivé ? Je ne sais pas.
J'ai été happée dans un vortex de l'absurde
où la créativité et la fulgurance intellectuelle
se côtoient avec grâce et bienveillance.
Il est de ces rencontres dont on ressort
meilleure. Des êtres brillants qui ne se la
racontent pas mais qui vous content une
histoire où vous vous sentez spéciale.
Un jour j'ai rencontré le plus humain et
chaleureux des Extra terrestres. il a modifié
ma perception de la vie. Ou bien était ce l'un
des plus extras des humains sur terre? Les
deux sans doute. Je mesure l'immense
privilège de pouvoir t'appeler "mon ami"
Sois certain Yann que les membres de la
communauté des "Cosses" continueront
certes le cœur lourd ton œuvre.
Tu brilles déjà si fort sur ta planète.

Aude

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Yvette Guy Ninon BEAUDOIN CROCHET

$"Souvenir

Yvette Guy Ninon BEAUDOIN CROCHET

Samedi lorsque j'ai appris le décès de
Yann, Ninon a sorti les albums photos et
cela m'a réconfortée. Tous ces bons
moments partagés,sa gentillesse, sa
chaleur, sa joie de vivre, son don d'imiter
les chiens ( lors d'une promenade
mémorable au gué de l'épine), son art de
raconter des histoires, ces fous rires
irrépressibles jusqu'à en pleurer resteront
dans notre mémoire.
Yann, notre ami très cher va nous manquer
horriblement.
Guy,Yvette et Ninon.

Yvette Guy Ninon BEAUDOIN CROCHET

Un bon ami commun
Nous avait présenté
C'est la littérature
Qui nous a rapproché

Tu étais grand lecteur
Enthousiaste et fécond
Dans tes prises de paroles
Tes lunettes sur le front

Tu étais né pour dire
Pour plaire et pour donner
Et avec ton beau rire
Tu savais consoler

L'amitié était neuve
Et tellement prometteuse
Alors s'en est mêlé
Cette garce de faucheuse

Tu es parti trop vite
Mais c'est en combattant
En guerrier pacifiste
Homme digne et vaillant

Au regard profond
Aux sinistres douleurs
On ne sait opposer
Qu'un absurde sourire

Tu nous manques déjà
Mais par ton souvenir
Tu seras victorieux
De la mort et du temps.

Jean Pierre DESVIGNE

Arrivés sur la pointe des pieds à
Kermin Crec'h par le plus grand des
hasards il y a 17 ans ; Isabelle et Yann
ont aménagé leur joli nid douillet, mais
aussi leurs relations de
voisinage.Discrets , humble ,
observateurs au début , des liens forts
se sont créés.
Un coup de main en bricolage , une
opération bois chez Jeanne et ça
finissait toujours par un goûter enjoué.
Depuis ta retraite Yann , la pêche à
pied était devenue incontournable , en
petite équipe biensûr . ( voisins, amis)
Palourdes ou praires , coques ou
ormeaux , maigre ou abondante la
pêche était toujours partagée. Alors
on en faisait un " modeste festin
joyeux et amical " .
Alors Yann tu nous refaisais la
langouste , avec tes bouchons de
liège dans les yeux et les petites
pattes sous le nez !
Il a fallu négocier ferme pour agrandir
ta bibliothèque. ( heureusement ta
avais un bon allié). La place manquait
un peu entre tes très nombreux livres
et les peintures d'Isabelle .
Pas grand bricoleur , mais lorsqu'il
s'agissait d'écrire, alors la magie
s'opérait. Tu devenais virtuose ,
jongleur, ciseleur des mots ; et c'était
beau .
Samedi dernier tu nous a fait une
dernière pirouette pour fermer ton livre
très personnel .

Véronique D.
Rémy L G .

Message personnel pour la photo :
"Opérations poulettes réussies,
Je répète : Opérations poulettes
réussies ".

Rémy VERONIQUE

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Solène

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Solène

Yann, je te revoie les yeux qui pétillent, à sauter sur la grande table de la rédac à Infomer et faire une révérence. À chanter, faire le pitre, te planquer derrière une plante verte pour jouer à cache-cache. Tu étais exubérant, drôle, parfois exaspérant, et on n’était jamais indifférents. Envie de te dire merci, respect, bravo… Merci parce que tu m’as reçue au marin, encouragée, aidée à croire en ma légitimité de journaliste, tu as pris le temps de reprendre avec moi mes papiers de L’ostréiculteur, pédagogue l’air de rien, et tu m’as beaucoup appris sur la pêche et le journalisme. Respect pour l’enquêteur, le passionné, le dingo, l’artiste… Bravo pour tes écrits qui prouvaient ta finesse, ce dont tu jouais à nous faire douter avec tes blagues lourdes. Heureuse d’avoir été quelques années parmi tes collègues, tes amis, ton cercle que tu égayais. Tchao ! La bise, et une grosse pensée à tes proches bien sûr. Je ne peux pas être là vendredi après-midi mais promis, je lèverais mon verre à toi le soir, ça te plaira plus que des larmes.

Solène

Yann,
Je ne peux résister à un dernier mot
à toi qui avais su, malgré mes réticences, me
convaincre de jouer avec les mots.
Attentionné comme tu l'étais, tu savais lire
entre les mots.
Nous n'avons pas eu, malheureusement,
beaucoup l'occasion de nous voir mais nous
avons beaucoup échangé sur les mots, entre
les mots, parfois sur les maux, pour le plaisir
des mots.
Tu étais là avec tes mots quand j'étais loin et
que j'en avais besoin. Toujours un mot
réconfortant, bienveillant alors que tu
affrontais, dignement et silencieusement, un
mal sournois.
Ces échanges vont me manquer.
C'est tellement triste de ne plus pouvoir te
dire "à bientôt pour de nouveaux mots".

Valérie

Toutes nos pensées à Isabelle et aux proches de Yann. Peu côtoyé mais à chaque fois très apprécié, nous n'avons pas saisi la gravité de son état il y a deux mois à l'occasion de la retraite de notre "voisin" qui est plus le vôtre...
Pour avoir cependant partagé des échanges conviviaux et toujours teintés de "bon humour" en marchant ou à l'occasion de soirées festives, nous garderons le souvenir d'une personne pétillante et de grande qualité. Nous ne serons pas présents vendredi mais penserons fort à vous.
Guénaële et Gilles

Guénaële et Gilles ROUZIC TESTU

on s'est connu il y a longtemps à Trouville, grand copain de Didier depuis cette époque, et puis tu es parti en
Bretagne et moi dans le sud, et on ne s'est plus revu , (trop loin, manque de temps: excuses bidons), sauf en
2016 pour l'enterrement de papa, et là le même enchantement, un vrai plaisir de te revoir, et puis aussi un mot
, que dis-je, une belle histoire pour maman. merci pour tous ces moments.
Porte-toi bien là où tu vas, une grande pensée à ta famille et tes amis.
Il y aura toujours un truc qui me fera penser à toi, Yann, Bessoule!

Frédérique VESSERON

Deux frangins ..

Cecile

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Anonyme

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Pauline

$"Souvenir

Pauline

Pour moi Yann sera toujours indissociable de la belle bande d'amis dont ma mère Aude fait partie. Depuis mon enfance, je suis
témoins de la majorité de leurs retrouvailles, de leurs rires et de leurs délires. C'est par l'intermédiaire de ma mère que j'ai eu la
chance de rencontrer Yann. Et c'est grâce à ces multiples occasions que j'ai appris à le connaître, ainsi que chacune des autres
figures de cette bande. De mon enfance, j'en garde l'image d'un personnage drôle au rire inimitable, joueur et d'une extrême
gentillesse. Près de 20 ans plus tard, je me rappelle aussi d'un homme et d'un ami à l'écoute, solaire et toujours prêt à saisir
l'opportunité de délirer.

Pauline

Salut l'Ami Yann.
Il nous faut maintenant attendre la fin de
l'histoire dont nous avons perdu le fil mais
nous nous souviendrons à coup sûr de
toutes celles partagées au Mix dans de
grands éclats de rire.
Nous n'oublierons pas non plus les pêches
miraculeuses et l'abondance de saint-
jacques, couteaux, palourdes et autre
coquillages qui n'avaient qu'à bien se tenir.
De quoi remplir un tout petit panier sans
risquer de piller la ressource mais surtout
de respirer ensemble et sans modération,
un grand bol d'air de bonheur avant que le
Grand Chef puisse mitonner ses petits
plats.
Avec Isabelle, vous saviez aussi être l'âme
réconfortante qui fait du bien lors de
passages plus difficiles de la vie. Heureux
et un grand merci d'avoir connus et
partagé tous ces instants
malheureusement trop courts.
À tous tes proches, à tes amis, mes
condoléances les plus attristées.
Dédé.

Anonyme

$"Souvenir

Yann, mon ami
Apprendre le même jour ta maladie et ton décès: quel choc !
Ne pas avoir pu te parler une dernière fois: que de regrets !
La distance géographique nous avait un peu éloignés l'un de l'autre. Mais avant, pendant les années Ouest-France, que de bons
moments nous avons vécus ensemble ! Que de conversations enflammées au resto, à la maison ou en voiture, sur la politique, le
journal ou le foot... Et que d'éclats de rire, évidemment !
Je suis de ceux qui ont eu le privilège de connaître et apprécier les deux Yann : l'amuseur public, le raconteur d'histoires, le semeur
de bons mots... mais aussi le confident, l'ami cultivé qui savait écouter, comprendre, partager, soutenir dans les moments difficiles.
Je ne l'oublierai jamais.
Mes pensées les plus amicales à toi, Isabelle, frappée une nouvelle fois par la perte de l'être aimé.
Mes sincères condoléances à toute la famille et à cette bande du Mix Café que je n'ai pas connue mais au milieu de laquelle je sais
que Yann a savouré une belle retraite, hélas beaucoup trop courte.

Alain PEUDENIER

Yann,
Comme tous tes amis et les gens qui t'ont
connu , l'annonce de ton décès m'a
bouleversé. Yann m'a énormément appris
lors des soirées lecture au Mix Café, on
échangeait tous ensemble, on s'écoutait.
Yann animait nos soirées avec plaisir, et
considérait chacun avec respect et intérêt.
On refaisait le monde, il était passionnant.
Il va nous manquer, je pense beaucoup à
Isabelle et sa famille . C'est tellement
douloureux. Merci Yann pour ce que tu
nous as apporté.
Catherine

Catherine HÉRISSON

Cher Yann, notre ami,
Tu aimais la vie.
Tu débordais de vie.
Tu aimais les polars américains, les Tontons flingueurs,
Franck Zappa, Bill Evans et Cat Power.
Tu aimais les bleus de la mer, ses gris, ses verts.
Tu aimais aussi les couleurs chaudes de l'été,
que tu arborais, de pied en cap, avec délice.
Tu étais solaire, Yann.
Tu aimais les mots, les dire, les écrire.
Tu aimais les arbres, les livres et l'art sous toutes ses formes.
Tu étais ouvert sur le monde, curieux de tout.
Et nous, tes chéris, tes z'amours, tes poteaux, tes amis, nous t'aimions.
Nous aimions tes éclats de rire, ta verve, tes pitreries, tes exubérances.
Car, entre le trop et le pas assez, tu avais choisi ton camp.
Nous aimions ta présence chaleureuse et enveloppante, ton regard sensible et bienveillant.
Tu avais le goût des autres, Yann.
Nous aimions aussi tes silences, quand parfois, tu devenais rêveur solitaire.
Nous aimions tes chemins de traverse, loin des sentiers battus.
Tu étais doué pour la vie, et pourtant, elle t'a lâchement laissé tomber.
Désormais, début décembre, je compterai seule les années.
Bon vent, Yann, notre ami cher,
la mer est agitée, mais tu sais affronter la tempête.
Et nous, nous allons te garder précieusement, au chaud, au creux de nous.

Mino et Nano ESNAULT

$"Souvenir

Yann c était la gentillesse, l empathie,
l'écoute, le bon mot et même les bons
mots toujours bien placés. Des
qualités qu'il avait mises au service du
Mix Café pour qui il a tant fait, rêvé,
imaginé et réalisé. Un homme qu'on
est fier d avoir côtoyé. Toutes mes
amitiés vont à Isabelle, sa famille et
leurs amis tant peinés de ce départ.

Michele GICQUEL

Souvenir de bonnes marrades avec Yann, dont la chaleur et la générosité me touchaient beaucoup. Et de
chansons partagées au micro, aussi, à gorge déployée...

Claire THÉVENOUX

J'ai rencontré Yann à Deauville Loisirs par l'intermédiaire de mon ami Didier.
Nous avons passé de bons moments tous ensemble de 1973 à 1977.
Puis nos chemins se sont séparés...
Condoléances à la famille.
Patrick LECOUFLE

Patrick LECOUFLE

Yann,
Il est difficile de dire des mots à la hauteur des
souvenirs partagés tous ensemble et puis les
mots, toi tu savais les manier!
Il y a 18 ans par le travail, Isabelle nous a
permis de te rencontrer et là tu as fait ton
entrée "tonitruante" ( petit clin d'oeil). Cette
soirée n'a été que le début de plein d'autres
moments de rire, d'histoire plus ou moins
rocambolesques...tous ensemble avec notre
petit groupe on en a eu des fou rires et
(comme beaucoup en témoignent) tu n'étais
pas le dernier.... MERCI MERCI pour tous ces
beaux moments vécus tous ensemble, nos
weekends...Merci aussi pour ta bienveillance.Tu
nous a protégé au maximum, de ce mal qui te
rongeait. Au-revoir Yann,
tu resteras là présent dans tous nos souvenirs
et on sera là pour Isabelle formidable comme
tu le disais.


Laëtitia

Yann Bessoule était (comme cela est choquant d'employer le passé !) incontestablement un grand journaliste, un fin connaisseur
de la mer, des entreprises maritimes, des marins, des armateurs, de toutes les structures qui interviennent, de tout ce milieu riche
et diversifié; il en parlait -et l'écrivait- avec justesse, rigueur, compétence et sans doute une forte dose de passion.
Mais c'était aussi -et surtout- un bel ami, fidèle, discret, délicat, diplomate, à l'esprit vif et parfois incisif; il aimait les rapports
francs et directs. Les conversations et les moments passés avec lui étaient captivants et étaient source de réflexions. A coup sûr il
restera longtemps dans nos mémoires.

Michel LE BOLLOCH

Yann,
Nos rencontres n'ont pas été très
nombreuses, mais à chaque fois
accompagnées d'une belle joie de vivre !
C'est ce que l'on retiendra de toi, Yann, un
homme drôle et amuseur, intéressé par les
gens qui l'entourent.
Nous n'avons jamais repris notre discussion
sur Enki Bilal, que tu nous as fait
découvrir....mais nous continuerons à y
réfléchir en regardant ses dessins.
Hubert et Fany

Hubert et Stéphanie CATROUX

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Anne-Claire

$"Souvenir

Anne-Claire

Que de bons souvenirs, de boutades, de taquineries, depuis que tu as passé la porte du Mix Café avec ton scooter et ta vareuse rose !
Le Mix ne serait pas devenu ce qu'il est sans toi, qui avait une façon d'analyser les choses et de voir plus loin que tout le monde !
Grosse peine pour l'équipe, grosse peine pour moi.
Profite bien de la bibliothèque et de la bonne musique là-haut, on se retrouvera pour des soirées lecture célestes, tu auras encore une longueur d'avance...

Anne-Claire

$"Souvenir

Merci pour tout l'amour que tu as infusé au Mix Café, merci pour tous ces rêves immenses, les projets grandioses et (en apparence) irréalisables que tu balançais toutes les dix secondes en réunion, merci pour tes discours enflammés, ta mémoire parfois sélective et toutes tes marottes. Promis, on va les faire, ce festival de théâtre, ce concert de Dusk Whistler et cette table géante dans Tressignaux. Après tout, on a bien monté un fest-noz. Ça non plus je n'y croyais pas tout à fait au début, mais toi si, à fond, et c'était trop bien, et on va recommencer – mais sans toi, cette fois-ci. Jette-nous plein d'étoiles depuis là-haut, qu'on puisse danser toute la nuit dans l'air léger.

Pascaline

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Claude

$"Souvenir

Claude

Fin gourmet et rêveur

Claude

Mes sincères condoléances à vous
Isabelle et Kevin, et aux proches de Yann,
très grand ami de toujours de mon père et
qui va beaucoup lui manquer.

Nina DALLOT

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Raphaëlle DALLOT

$"Souvenir

Raphaëlle DALLOT

$"Souvenir

Raphaëlle DALLOT

A mon parrain,

De ma felouque sur le Nil, je vais tenter
de trouver les mots, les mots qu’il faut

Tu m’ouvrais les portes de ta maison
constamment, et une fois, tu m’as ouvert
les portes de la rédaction du Marin
Après la pige, tu m’avais fait bosser sur
un article au sujet d’un naufrage
Scrutant l’ouverture, l’information, le ton,
le choix des mots, et me guidant avec
rigueur, expertise et passion, j’avais dû
reprendre mon texte une bonne
vingtaine de fois pour que tu décides,
généreusement, qu’il ferait la couverture
cette semaine

Tu confortais et enveloppais avec ton
rire unique, ton humour, tes mots justes
et drôles, tes pitreries, ta culture, ton
sourire tendre et ton écoute
bienveillante
Avec toi, Yann, il y avait toujours une
finesse dans tes blagues les plus
grotesques

J’aimais t’endendre refaire le monde
avec mon père
J’aimais vous imaginer tous les deux à
faire les 400 coups, adolescents, sur le
port de Trouville
J’aimais vous regarder vous bidonner
pendant des heures toi et mes parents
J’aimais savoir que vous vous êtiez
récemment rassemblés autour des arts
avec Vincent au Mix Cafe
J’aimais les mots réconfortants que tu as
eu pour Mamie Coco

Tu avais le goût des autres
Le goût de exhubérance et de
l’extravagance
Le goût des mots
Et tes rêves marin

Maintenant tu as pris le large, mais tu
restes dans mon coeur toujours
Le vent chaud souffle sur les berges du
Nil

Raphaëlle DALLOT

“J'aimerais trouver les mots
Les mots justes, les mots qu'il faut
Tous les mots sont démodés
Tu sais
Alors j'écris, je cherche encore
Le mot vrai, le mot fort
J'ai l'impression qu'j'trouverai jamais
Oh, hey, je sèche comme tu vois
Et toi
Tu me dis qu'elle est mélo
Tu me dis qu'elle est mélo, ma mélodie
Tu me dis qu'elle est mélo
Tu me dis qu'elle est mélo, ma mélodie
Tu me dis qu'elle est mélo
Qu'elle est mélo, ma mélodie
La musique de tes mots
S'impose, s'installe sur ce thème
Je t'aime”

Paroles de Ma Mélodie de -M-

Raphaëlle DALLOT

"Bonjour Carol, comment t'appelles-tu ?" : c'est toujours ainsi que tu me disais bonjour...C'était chouette de bosser avec toi Yann,
mais je retiendrai surtout les rires et les batailles d'élastique (d'ailleurs, il en reste à la Doc...). C'était impossible de ne pas rigoler à
tes blagues, et je pense à la célèbre Une de Libé :"C'est un mec, y meurt", mais pour la première fois, ton histoire ne me fait pas rire.
Avec tristesse, j'ai une pensée pour ta famille et tes proches. Carol.

Carol DAVID

Yann,

Quelle tristesse d'apprendre ton décès, toi qui nous faisais tant rire!

Avec toi les conférences de rédaction se transformaient en concours de bons mots et de grosses blagues, c'était plus festif.
Toi qui étais toujours gentil et attentif, je garde le souvenir des conversations quand je te ramenais en ville après le travail, toi qui
n'avais pas le permis, une originalité dans notre milieu de journaliste, et ce n'était pas la seule!

Une pensée sincère pour tes proches, ton épouse, ton fils et tes petits-enfants qui te rendaient si heureux, et merci encore d'avoir
fait souffler un vent si joyeux sur la rédaction.

Florence

Florence PITARD

Merci Yann pour ces années de bonne humeur et d'humour qui nous manquent toujours. Tu étais tellement vivant, difficile d'imaginer que tu ne le sois plus.
Repose en paix où que tu sois, près de la mer de préférence.
"Un jour bientôt peut-être.
Un jour j'arracherai l'ancre qui tient mon navire loin des mers"
Toute ma sympathie à la famille de Yann dont il était si fier et dont il aimait tant parler.

Nathalie GUÉRIN

Yann... je ne t'ai jamais oublié. Nos éclats
de rire résonnent encore quand je
repense à ces années passées à tes
côtés au Marin. J'étais le mousse et tu
m'as appris le métier. Ensuite j'ai changé
de boutique.. on s'est retrouvé sur FB. Je
m'étais promis de venir te voir. J'ai trop
attendu et je le regrette. On se reverra
sûrement au paradis des plumitifs. Je
t'embrasse. Didier.

Didier DENIEL

Yann, merci pour tout ce que tu as apporté à Tressignaux, au MixCafé et, en particulier, lors de mon exposition de peintures en mai 2023 (la première qui me fut entièrement consacrée). Merci pour ton professionnalisme et ton dévouement envers les habitants de la commune. Mes sincères condoléances à ta famille. Michèle Latour, de Rouen

Michèle LATOUR

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Yann, beaucoup de pensées pour toi en
cette fin de semaine et toute les équipes
du Marin et Infomer, que j’ai eu la chance
de côtoyer quand j’étais majordome à
Ouest France, tes sourires malicieux, tes
rires puissants, tes cravates en forme de
poissons, des soirées XXL pour des
diffusions de match européen ou des
soirées d’équipes, des bouclages qui
trainaient sur la fin de journée.
Toujours ton attention à l’autre, ton
exigence professionnelle.
Toute mon amitié a jamais.

Jean Michel SEBILLET

Yann, tu vas tant nous manquer. J’avais
fait ta connaissance lors d’un reportage à
bord du sous-marin nucléaire L’Inflexible.
Autant dire que la traversée ne fut pas
banale.
Par la suite, je t’avais rendu visite à
Tressignaux avec mes deux filles et nous
ne nous étions pas ennuyés. L’après-midi
avait vite passé.
Malheureusement, notre conversation
autour de Robert-Louis Stevenson restera
sans suite. Mais j’espère que ton esprit
facétieux, ton insatiable curiosité et
ton amour de la vie vont continuer de nous
inspirer.
Mes plus sincères condoléances à
Isabelle, à ta famille et à tous ceux qui
t’aimaient.

Olivier MÉLENNEC

$"Souvenir

Pourquoi tu n'as pas dit que tu étais malade, Yannou ?
Est-ce que c'était par pudeur ? Pour ne pas inquiéter tes proches ?
Mais tu avais tranché, comme tu savais faire : "Un jour, les gens apprendront que je suis mort, et puis voilà".
Tu as dû décider que ton cancer n'était pas un bon sujet de conversation. Les conversations tristes, c'était
pas ton truc. Te plaindre non plus.
On dit tous : "La vie est dure". "La vie est injuste".
Heureusement, on dit aussi, parfois : "La vie est belle".
Mais toi, tu disais : "La vie est intéressante". Tu es la seule personne que j'aie entendu répéter cela : "la vie
est intéressante".
Quand tu voulais dire la vie, tu voulais dire les gens.
Les journalistes veulent décrocher des scoops. C'est normal. D'ailleurs tu en as sorti quelques-uns.
Mais ce que tu recherchais davantage, c'était des nouveaux copains.
Quand tu es parti en reportage sur la "Jeanne d'Arc", tu y as vite été comme un poisson dans l'eau.
Avec toi, la "Jeanne", comme le Paris d'Hemingway, était devenue une fête.
A l'annonce de ta mort, c'est fou le nombre de gens qui ont voulu parler, se souvenir de toi. Et puis chacun
repartait, en savourant ce qui restait des bons moments.
Le silence après Bessoule, c'est encore du Bessoule...
Maintenant, tu dois être quelque part sur un grand bateau, une sorte de "Jeanne". Et je suis sûr qu'à bord,
ils doivent bien se marrer.

André THOMAS

Nous nous rappelons des apéros et des
dîners dans votre salon chaleureux, sous fond
de jazz, ponctués d’imitations, de grimaces,
de blagues et nous ne pouvions plus nous
arrêter de rire, parfois au désarroi d’Isabelle : 
« Oh Yann ! ».
Ton originalité nous a inspiré, tu nous
emmenais dans ton monde et nous te
suivions avec grand plaisir. Par des films qui
ont marqué notre enfance et notre
adolescence : Il était une fois dans l’Ouest, le
bon la brute et le truand, les films de Bourvil,
ou Ventura. Par des objets invraisemblables,
dénichés je ne sais où. Par des récits de
voyages et aventures improbables.
Tu as participé à notre construction, avec
Isabelle, par ton soutien, ton écoute et tes
conseils, conseils qui résonnent encore.
Alors merci pour les anecdotes, les récits, les
livres, les films, la musique et l’inspiration.
Tu étais un peu notre tonton flingueur.

Apolline & Léane

"Craque ma poule comme on dit à Paimpol
en remontant les filets"...j'ai gardé de lui
cette expression qu'il m'avait partagée lors
de notre co navigation à Chantepie...et le
soir de l'incendie du Parlement, je crois
bien que nous étions ensemble avec lui et
Colette David chez notre cher Fred
Giroud...cela sentait le brûlé at son balcon
de la place Ste Anne, alors des gars sont
partis voir "au cas où...". On connaît la suite
- fantastique - éditoriale....
Amzer zo Yann... Da Viken...a tatôt.

Christine DUCHESNE

Bonjour Alain et à vous tous ! Venant d’apprendre ce matin par Isabelle la triste nouvelle . Nous sommes tous tres tres triste et moi
tout à fait boulversé par cette soudaine disparition ! Milles souvenirs remontent avec quelques larmes de profonds chagrin . Désolé
de n’avoir pas pu être des vôtres lors de la cérémonie à St Brieuc . J’aurais aimé lui rendre un dernier hommage ! Mais je ne sais
comment ni pourquoi votre message ne mets pas parvenu ? Désolé de nouveau ! Veuillez accepter nos plus sincères condoléances
et l’expression de notre profondes amitiés dans ces moments tres difficiles ! A Dieu Vat !
Kenavo ! PS : mon numero 0671094120

Sylvie et daniel LAVEANT

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Pascal PIRIOU

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Pascal PIRIOU

Yann Bessoule… Il était un journaliste de
talent, de ceux qui savent écrire bien sûr
mais surtout de ceux qui savent écouter, te
faire dire, de ceux qui savent tout
entendre, secrets compris, pour
comprendre et restituer l’essentiel sans
chercher le sensationnel. Il aimait
comprendre pour faire comprendre. On lui
parlait parce qu’il aimait les gens et ses
papiers le démontraient à chaque fois. Il
était la plume du maritime chez Ouest
France mais plus que ça, c’était l’ami de
tous ceux qui vivent sur et avec la mer.
C’était mon ami…
Bon vent belle mer mon Yann… Une
énorme pensée pour Isabelle, ton âme
sœur, ta famille et tes amis de Tressignaux,
de la part de tes potes de Concarneau, de
Sète, de La Désirade, de Marseille,… et du
monde entier.

Pascal PIRIOU

Mon Yanou, quand tu as débarqué à la Rédac au 114 Champs-Elysées, une famille t'attendait. DH et BLS t'ont appris le métier, Bubu habitait le bureau d'à côté, il y avait aussi les grandes figures tutélaires, Patrick Le Dantec et Pierre Joly, le Grand Daniel qui nous croquait si bien en photo, et Annie, et la grande Christine, et M. Benahmou.
Tu t'y es trouvé comme un poisson dans l'eau et très vite, tu as plongé dans le grand bain du Marin, à Rennes, puis sur le plateau.
Ca me console un peu de penser que, là haut, tu vas retrouver ton Nanar que tu aimais tant, et que vous irez boire une mousse en riant, comme avant, au Quick, après le bouclage. Toutes mes pensées à Isabelle, à vos enfants, à ta famille, ton sourire ne nous quittera pas.
Ta Fred

Frédérique JOURDAA

Quand André m’a appelé il y a huit jours
j’ai été sonnée. Comment imaginer que
le roc qu’on connaissait tous disparaisse
comme ça s’en prévenir, ou plutôt sans
avoir voulu prévenir. Mais je te reconnais
bien là.
Je n’étais pas là vendredi mais j’ai bien
pensé à tous tes proches réunis dans ta
petite commune d’adoption dont tu
parlais tant.
Des souvenirs j’en aurais beaucoup à
raconter car on s’est quand même
côtoyé quelques années. Mais je
n’évoquerais que mon rôle de taxi qui
nous a permis de tant discuter le soir en
rentrant de la rédaction du marin puis
après le matin quand je te chopais à
l’abri de bus Liberté pour te déposer à la
« guérite » d’OF.
On a beaucoup parlé et surtout
beaucoup rigolé lors de ces moments,
au grand dam de certains piétons ou
vélos qui ont dû avoir chaud aux fesses
parfois. Merci donc de ne pas avoir eu
ton permis
Mais merci surtout d’avoir croisé ma
route.
Catherine

Catherine BALLOT

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Très cher Yann,
Tellement de souvenirs de franches
rigolades, déconnades avec tes frères,
mon frère et ma sœur dès notre plus
jeune enfance rue de la Station à
Franconville, puis adolescence jeunesse
rue des Bains à Trouville, vacances
mémorables au Grand Bornand.. Il y a un
petit plus d'un an, tu m'as dit au
téléphone il faut que l'on se revoit, je ne
pensais pas que ce serait de cette
façon...
Ton rire, ton air malicieux etc.. tout me
manque et laisse la place à un énorme
vide...
Christine

Christine LEGRAND PAILLIOTTIN

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Claude TARIN

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Claude TARIN

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Claude TARIN

Qu’ajouter à tous ces hommages qui t’ont été spontanément rendus, si ce n’est que je regrette, moi aussi, ton départ précipité vers cet ailleurs d’où on ne revient pas. A moins que, usant une nouvelle fois
de ton habileté légendaire à tirer les vers du nez, tu finisses par nous prouver, quitte à en être le premier surpris, qu’il y a un ailleurs.

À regret, nous nous sommes perdus de vue. J’aurais préféré te revoir dans d’autres circonstances, mais je veux croire qu’Isabelle aura été réconfortée par cette chaleur humaine que tu as générée et qui
l’a entourée ce vendredi 1er avril. J’aimerais la convaincre que l’on ne meurt jamais quand, soi-même, on a aimé et su se faire aimer.

Oui, Yann, tu parlais vrai quand tu disais :« La vie ? C’est intéressant ». Tu as trouvé chaussure à ton pied en quittant les bottes pour te faire journaliste. Quand on a déjà en soi le goût des autres, on est
armé pour aller à la pêche de l’information. Pêche il y eut ; elle fut fructueuse et bénéfique pour la flottille Ouest-France.

Il y aurait mille autres à choses à dire sur ton compte, mais je ne veux retenir, ce jour, que cet aspect de toi que je viens de découvrir. Il m’a fallu attendre que tu tires ta révérence pour apprendre que ce
goût des autres tu as continué à le faire fructifier dans ton village d’adoption.

Tu peux lâcher le crayon. Mission accomplie.

Claude TARIN

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Bernard JÉGOU

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Bernard JÉGOU

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Bernard JÉGOU

Avoir un bon copain, c’est une chanson que Yann chantait avec entrain. Et c'était un bon copain.
Yann a d’abord été un collègue, dès 1987. Il était pigiste du marin à Paris, j'étais auxiliaire à la page marine d’Ouest-France, réceptionnant les papiers d’un de ses mentors, Bernard Le Solleu. On s’est retrouvés ensuite concurrents, quand j’étais à EcoPêche à Quimper, et encore quand Ouest-France a racheté ce mensuel pour le marier à France-Pêche. L’actionnaire était le même mais Yann prenait un malin plaisir à nous mettre des râteaux. Qu’importe, le soir, on se retrouvait chez lui rue Vasselot, pour regarder les Guignols et le foot sur Canal, devant des pizzas. On poursuivait (trop) souvent au whisky-cigarettes, sur fond de Nougaro et/ou de Zappa.
À la fin de FranceEcopêche, il est devenu mon chef au marin. Avec de l’autorité, sans trop d’autoritarisme. Si le syndicaliste pouvait l’emmerder, on était d'accord sur le boulot et les après-bouclages restaient "conviviaux".
Depuis son départ à Ouest-France (près de 15 ans déjà…), on se voyait parfois le soir, de la guérite à son arrêt de bus, moi à vélo et lui à pied, prenant des nouvelles des collègues et des amis.
Des amis, j'ai vu qu'il avait réussi à s'en faire de nouveaux à Tressignaux, au Mix café, et à en devenir le président. Pas étonnant. Même chef, il avait toujours su rester un sacré bon copain.

Bernard JÉGOU

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Yann, à l'occasion de la cérémonie du 50e anniversaire des chantiers Piriou. Il se rendait régulièrement dans cette entreprise de
Concarneau, pour le travail mais pas seulement.

André THOMAS

En souvenir de tous les bons moments
passés a Trouville - Deauville (il y en a eu
tellement) quand tu travaillais sur Le Gros
Loulou et puis faisait la fête avec nous. On
ne t'oublira pas.

Hugues LE ROUX

quand on s'est rencontré, je ne voulais pas de père et Yann ne voulait pas d'enfant. Mais comme dans toute histoire d'amour,
cela vous tombe dessus quand vous vous y attendez le moins.
C'est quand maman est devenue marraine d'Anton qu'elle a rencontré le parrain, Yann. Tout ce que je savais , c'est que leurs
ex respectifs, Patrick et Odile, avaient décidé de leur faire cet honneur. ce dont je ne pouvais pas me douter, c'est que ces
deux cupidons allaient poser les bases d'un amour du feu de Dieu. A cette époque, tout ce qui m'importait, c'était de savoir
ma mère entre de bonnes mains et très vite , je me suis rendu compte que Yann était aussi fou que ma mère mais surtout
qu'il l'aimait passionnément. Petit à petit, il tourna une femme qui se disait antiromantique par excellence en une romantique
au coeur de guimauve. il a fait tombé les barrières et l'armure de ma mère et elle s'est épanouie, s'est libérée et s'est laissé
aimer, vraiment aimer et de l'amour, elle en avait . On ne choisit pas qui on appelle père ou mère , Yann est devenu mon père
bien avant qu'il m'adopte. Il était un grand père , un parrain et un oncle fabuleux. Il nous laisse sa philosophie de vie faite de
joie de vivre, d'amour et d'une bonne dose folie, chérissez ses mots, souvenez vous de ses histoires pour qu'il continue de
vivre en vous. Son souhait le plus cher était de ne pas vous abandonner.

kevin ROBIN-BESSOULE

Créez un album collaboratif en réunissant les souvenirs des proches de Yann BESSOULE, pour vous ou pour une délicate attention.