Tous les hommages rendus à Alain ROCHETEAU
Retrouvez ici tous les hommages, souvenirs et photos déposés en la mémoire de Alain ROCHETEAU
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ALAIN ROCHETEAU
1964 - 2025
On a bouffé du bitume et du sentier ensemble
pendant plus de 20 ans. On a partagé aussi
beaucoup d'autres choses plus sensibles. Tu
étais un "homme honnête" et je t'aimais...La
vie est parfois d'une cruauté crasse. Heureux
de t'avoir rencontré...T'es parti mais tu vis
toujours dans le cœur de ceux qui t'aiment...
Je suis très triste d'apprendre ton départ.
Je me souviens du jour où tu m'avais dit :
si tu arrives à la démarrer et si ton père
veut bien...tu peux faire un tour.
Tu aimais les balades à moto tout comme
nous. En souvenir de ce bon vieux temps.
Christophe fils à Eric.
Bon dernier voyage
Je suis très triste d'apprendre ton départ.
Je me souviens du jour où tu m'avais dit :
si tu arrives à la démarrer et si ton père
veut bien...tu peux faire un tour.
Tu aimais les balades à moto tout comme
nous. En souvenir de ce bon vieux temps.
Christophe fils à Eric.
Bon dernier voyage
Repose en paix Alain. On avait la même formation de base (bac F3) puis nos chemins se sont séparés. Mais je sais qu'ils s'uniront de nouveau quand je te rejoindrai.
Nénesse,
Tu es parti sans boucler ton casque cette
fois, et tu ne vas pas taper sur le mien
pour me renvoyer sur le chemin du
Caterpillar.
Chaque image me fait encore marrer, du
pigeon de Babouya à la glace à la
mistache... ou la chevauchée sauvage au
milieu des vielles italiennes fripées de
Bassam...
Tu t'es battu comme un lion de la
Terranga, encore plus fort même, parce
que les lions, eux, abandonnent leurs
compagnes.
Ton combat me laissera encore plus
admiratif que tes patientes explications
sur le montage du va-et vient électrique,
qui gardera encore son mystère
insondable...
Adieu, petit frère.
Riri sans Roro, c'est plus pareil.
Puis faudrait pas que je me laisse aller...
Claudine, Bastien, je suis de tout cœur avec vous dans ce moment si difficile…
Je pense à vous, à toute la famille et vous envoie un maximum de tendresse !
Je pense à toi, Alain, ton sourire, tes blagues, ton énergie, nos moments un peu foufous sur le terrain, nos moments bêtises avec Anne-Vio, Thomas, Damien, les repas plein de complicité partagés à Teyran, au château d’O … une amitié rare, qui fait grandir, qui construit…
Je garde tous ces moments précieusement.
Mes chers Claudine et Bastien, je viens d'apprendre la terrible nouvelle de la disparition d'Alain. Pendant les 15 ans que nous avons travaillé ensemble j'ai beaucoup appris de lui sur les plans autant humain que professionnel. Je me souviens à la fois de sa passion dans le travail et de sa chaleur pendant les moments de fêtes. Il reste celui qui transpirait avec moi en plein été à Puechabon et celui qui partageait nos blagues pendant les repas de Noël. On est de tout cœur avec vous depuis Tenerife.
Amitiés JM et Carmen.
Tout notre soutien à Bastien et
Claudine. Que de souvenirs Alain, ton
courage en soirée, ta grande maîtrise
au volant, et ton sourire en tout
instant. Salut l'ami !
Alain
Je vais te faire planter un petit arbre loin d'ici pour que tu puisses voyager un peu avec lui. Je pense que cela te plaira. Michael
Chers Claudine et Bastien
C'est une très triste nouvelle pour terminer la semaine. Le temps s'est également mis au gris. L’arrivée d’Alain dans Dream n'a pas été évidente. Je crois qu'il nous faut ici remercier au passage Roger Pontanier (dit Pompon par les Orstomiens canal historique). Il me vantait une collaboration win-win. Ce fut du win-win plus plus. Nous fonctionnions comme une équipe de rugby, et il occupait une place importante. L’épopée de Puéchabon doit beaucoup à sa contribution. S’il existait une médaille de Dreamien d’honneur, Alain l’aurais eue, et il serait même promu directement au grade d’officier. Mes pensées vous accompagnent en ces terribles moments. Vous avez tout mon soutien et ma compassion.
Serge Rambal
Je n’ai pas vraiment les mots. Et ce que je vais dire n’a rien d’un hommage préparé ou attendu. Je pense à Alain, à nos rencontres à Dakar, à Montpellier — à Puechabon, à Diams — puis à nouveau au Sénégal, à Niakhar. Des moments de travail, bien sûr, mais surtout des instants partagés avec un homme vrai. Alain, c’était le terrain, l’engagement, la rigueur. Mais c’était surtout une humanité rare, une simplicité naturelle, une présence discrète et précieuse. Il est parti bien trop tôt. Et son absence me bouleverse plus que je ne l’aurais imaginé. Parce qu’il comptait. Parce que, sans bruit, il a laissé une empreinte forte. Je ne cherche pas à dire ce qu’il faut dire. Juste à dire que je pense à lui, profondément.
Je suis très, très triste d’apprendre le décès d’Alain. C’était un collègue enjoué, très gentil, toujours partant pour expérimenter de nouvelles choses. Il était toujours à l’écoute et de très bon conseil. Quand il est tombé malade, il nous a beaucoup manqué. Quand il passait nous voir au labo, il était très optimiste et j’étais persuadée qu’il allait vaincre cette maudite maladie. Je n’arrive toujours pas à croire qu’il n’ait pas gagné la partie et qu’il nous ait quitté si prématurément. Je le revois encore et toujours, enjoué et joyeux. Il est vraiment parti trop tôt, c’est terriblement injuste. Je suis de tout cœur avec vous Claudine, et votre fils. Mes pensées vous accompagnent pour ces moments si douloureux.
Claude Plassard
Alain mon cher voisin d'Adiopo.
Que de doux et lumineux souvenirs
ensemble; les virées à Grand Bassam ou
Treichville sur ta moto ou avec ton suzuki
toujours en compagnie de Claudine et de Riri.
La belle équipe !
Je garderais en mémoire ces fous rires lors
des courses de fauteuil à l'hotel Ivoire, ces
discussions jusqu'au bout de la nuit, ta
générosité et ta simplicité.
J'aime cette idée de planter un arbre pour
que tu restes encore avec nous.
Alain, mon très cher voisin de couloir au bâtiment 12, j'ai pleuré en pensant aux épreuves que tu traversais et je pleure maintenant en apprenant ton départ. Ta voix grave, ton humour bien luné et ton sourire profondément gentil nous manquent déjà depuis longtemps dans le couloir.
Un petit souvenir partagé : le semi marathon de Nîmes au printemps 2016, que tu avais couru avec Bastien; on y a partagé les émotions de l'arrivée. J'ai cherché le selfy à trois que je pensais avoir de cet instant, mais ne l'ai pas retrouvé...
Je suis de tout cœur avec tes proches.
Je suis encore sous le choc de cette triste nouvelle, cela me rends tellement tellement triste...
On formait un binôme au travail depuis plus de 10 ans, j'ai eu la chance d'apprendre à tes côtés chaque jours et tu m'as tellement apporté par ton savoir, ta gentillesse, ta simplicité et ton calme. J'ai des souvenirs pleins la tête de nos moments sur le terrain, en mission, au labo, mais aussi en dehors du travail autour d'un repas, d'une course à pied ou d'un simple verre.
Mais surtout, tu étais bien plus que ça... Un ami formidable, bienveillant et toujours positif même dans les moments les plus difficiles de ta maladie (et jusqu'au bout!).
Tu vas beaucoup me manquer!!!
Depuis le terrain au Cameroun, j'aurai une grosse pensée pour la cérémonie de vendredi.
Toutes mes pensées et mes condoléances à la famille, en particulier Claudine et Bastien, et également à ses proches.
PS : notre dernière photo lors de mon mariage l'été dernier... avec la petite team AEV présent!

Il y a une paire d année toute la famille
Rocheteau était réuni dans le lot et
Garonne au lieu dit le mayne Tournon d
Agenais
Un très très beau souvenir et un très bon
repas
Basile aux anges son parrain et sa
marraine ensemble
Toutes mes pensées et mon amitié à
toute la famille
Alain, je t’ai connu depuis toute petite, pour
moi tu étais cet ami trop cool de papa et
maman. Venir vous voir avec Claudine était
signe de fête et de bons moments passés
tous ensemble. Sans le vouloir tu m’as
transmis ta passion de la course à pied, je
t’ai toujours admiré pour tes performances
sportives. Tu n’as jamais manqué de me
donner des Kudos, même jusqu’à la fin.
Alors merci. Merci pour ta détermination,
merci pour ta force, et merci pour ta bonne
humeur. Tu vas nous manquer.
Mes pensées vont à la famille en ces
moments difficiles.
Pour Alain, l'optimiste dans le vent
Ma peine est immense.
Mais je m'inspire de lui, comme je l'ai déjà fait
de nombreuses fois. Et j'expire.
Inspire.
Expire.
De la toute première fois où l'on goûte à l'air de
notre Terre, jusqu'au dernier souffle.
Il est toujours là.
L'air qui nous entoure, le mouvement perpétuel
du vivant.
De la plus petite stomate de nos jeunes feuilles
vert tendre, le nez au vent, jusqu'à la pointe de
nos racines en lien avec le monde souterrain
fascinant. En passant bien-sûr par nos troncs
élancés et les multiples parcours des branches
de nos vies.
Il est toujours là.
Quel extraordinaire sujet, auquel contribuer. Et
quelle contribution ! Pour des générations et
des générations, au 4 coins de notre planète
en évolution.
Dans l'air du temps, tantôt bourrasque
déterminée pour faire bouger les choses et
courir aussi vite que le vent ;
Tantôt brise légère pour transmettre, généreux
et bienveillant.
Inspire, son optimisme à toute épreuve.
Expire, et fait rayonner à ton tour son soin de la
nature et son immense souffle de joie.
Respire.
Il est toujours là,
Dans l'air qui nous entoure,
le mouvement perpétuel du vivant.
Martine et moi te présentons notre sincère
compassion. Nous garderons un très bon
souvenir d 'Alain : agréable à côtoyer et
avec toujours le sourire. Notre dernière
rencontre à la Grande Motte au printemps
dernier était très émouvante pour nous.
Avec toute notre sympathie et qu' Alain
repose en paix !
Christian Collin
La dernière fois qu'on s'est parlé dans les couloirs du bâtiment 12, tu étais optimiste et tu disais vouloir profiter de ton temps, de ta famille et de tes amis. J'ai admiré ton courage face à la maladie. Repose en paix, Alain.

Claudine, Bastien, je n’ai pas assez de mots pour vous témoigner mon soutien dans cette épreuve si difficile.
Je suis tellement triste de savoir notre collègue et ami parti. Alain, je garde en mémoire tous ces instants passés au travail à discuter du montage du site DIAMS. Ton engagement sans faille dans la partie technique, mais aussi et surtout dans l'humain. Nos réunions tardives éclaircies par ta bonne humeur et les solutions trouvées grâce à ta persistance de marathonien et ta rigueur. Et puis il y avait les repas conviviaux, les courses à pied où tu me promulguais tes conseils « Ne te grille pas dans la montée, Ne lâche rien ! Eh bien d'autres... ». Toi non plus, tu n'as rien lâché. Tu as su garder ton courage et ton sourire ces dernières années, alors que tu traversais tant d'épreuves. Tu m'as donné une belle leçon de vie. Je suis admirative et tous ces moments en ta compagnie restent gravés en moi.
Isabelle Bertrand


Deux photos souvenirs de la période sénégalaise d'Alain, Claudine et Bastien, là où nous sommes croisés sur le centre ORSTOM de Hann dans le laboratoire d'écologie végétale. On a fêté nos 30 ans ensemble à Dakar
par une fête mémorable et à chaque dizaine on se disait que nous remettrions cela à Dakar. J'ai vu Alain il y a une dizaine de jours. Malgré ses souffrances, il gardait un espoir et un enthousiasme me donnant une
véritable lesson de vie. Reposes en paix et que la terre te soit légère. Claudine fait appel à ses ancêtres mancagnes, et à tous nos ancêtres, pour qu'il soit accueilli là bas quelque part en attendant qu'on y aille faire la
fête, et qu'il reste dans nos mémoires.
Dominique.
Merci Alain pour ta gentillesse et ton humilité, je t'ai croisé brièvement à Eco&Sols ... et au laboratoire d'analyses à Clapiers. Tu me disais me voir souvent dans le quartier avec mes enfants sur notre vélo électrique orange fluo! Ce souvenir m'accompagnera lors de mes trajets dans le quartier, et rendra ainsi hommage au grand homme discret que tu étais. Toutes mes condoléances à la famille.
Dominique vient de m’apprendre cette
bien triste nouvelle. Sans avoir vraiment
connu Alain, j’en ai souvent entendu
parlé, notamment par son épouse avec
qui travaillé. De Dakar oú je sais qu’il y a
beaucoup de souvenirs, je viens
présenter mes sincères condoléances à
Claudine et ses proches. Je vous
souhaite beaucoup de courage pour ces
moments difficiles.
Valérie
Alain,
Les souvenirs se bousculent : les virées
à vélo quand nous étions enfants, le
foyer des jeunes, les week-ends en stop
pour l’île de Noirmoutier avec les nuits à
la belle étoile, plus tard avec les
voitures, les sorties aux bals disco avec
des retours épiques mais maîtrisées,
notre séjour en Côte d’Ivoire et enfin nos
passages à Teyran.
Tu resteras à jamais dans nos cœurs et
merci pour tous ces moments de vie
partagés.
Nous avons aussi pris une leçon de
courage et notre dernière rencontre
nous l’a encore prouvée.
Encore merci notre poteau et nous te
souhaitons le meilleur là haut.
Genevieve (que tu étais le seul à appeler
Ginette) et Jacques.

Chers Claudine et Bastien,
Quelle tristesse d'apprendre cette nouvelle, quel dommage qu'Alain ne soit plus là.
Le site de Puéchabon doit énormément à Alain, son héritage y est toujours opérationnel et utile à ceux qui continuent à y travailler. Mais Alain était bien plus qu'un collègue de travail: pour les thésards de l'équipe DREAM il était un soutien précieux, un compagnon que l'on avait plaisir à retrouver chaque matin, un ami sur lequel on pouvait compter.
Je me souviendrai longtemps des innombrables pauses café/clopes au bout de l'aile C du CEFE, des bières au "Jogging", des repas de Noël au TE, des mauvaises blagues et des très bons fou rires que nous avons partagé. De cette époque j'ai gardé certaines de ses expressions et blagues de répétition, mais son énergie et son humour nous manqueront toujours énormément.
Alain a laissé un gros trou dans notre équipe, dont il était le pivot et le ciment. Toujours le bon mot et ouvert à la discussion, avec sa belle voix grave.
Il laisse maintenant un grand vide dans notre cœur.
Courage Claudine, la vie continue.
Quelque souvenirs d'Alain qui en a vu de belles avec ses collègues qu'il soutenait sur les différents terrains.
Alain : "Voilà, c'est pas compliqué, je t'explique le fonctionnement du système : comme ci pour telle raison et comme ça pour telle autre, tu as compris ? C'est simple, même un chercheur devrait y arriver."
Moi : "heu..."
Alain : "Bon cherche pas à comprendre, regarde exactement comme je fais et fais pareil !"
Moi : Yes, Sir!
Ce que j'ai cru faire comme un grand, une fois seul au fin fond du Cameroun... mais tout le monde n'est pas un vrai pro et j'ai bien sur oublié un détail crucial (Alain "mais je te l'avais pourtant bien expliqué !)
Autre épisode, sur une station de recherche au nord Thaïlande : "La soir tombe, vous savez où est Alain ? On a faim !" Pas d'Alain... qui réapparait à la nuit, ramené par un fermier du coin : il s'était paumé dans les
parcelles en faisant son jogging ! Sacré joggeur !
Alain, mon premier chef de l'AEV,
Depuis quelque temps déjà, ton absence se faisait sentir, et aujourd’hui elle prend une toute autre dimension. Tu nous manquais, et tu vas continuer à nous manquer. Ton souvenir est partout dans l'atelier et sur
DIAMS. Je garde de toi l’image d’un homme gentil, bienveillant, toujours prêt à transmettre et à partager, sans oublier ton humour qui m'a mis à l’aise très rapidement. Je suis très triste aujourd'hui. Merci pour tout.
Toutes mes pensées vont à ta famille et à tes proches, à qui j’adresse mes plus sincères condoléances.

Les mots nous manquent pour exprimer toute notre tristesse face à une telle violence et une telle injustice de la vie.
Alain, ta gentillesse et ton humour resteront à jamais gravés dans nos mémoires.
Nous avons partagé des instants si précieux... la liste serait longue !!
Le week-end à Nantua nous revient tout de suite en mémoire... une belle balade au lac Genin, quelques moments de délire et une
dégustation mémorable de vin jaune !!
C'est vrai que quelques excellents flacons ont jalonné nos rencontres... tu savais les apprécier et les partager !!
Que de moments complices passés sur les parcours de course à pied... souvenirs de marathoniens !!
Que de bons moments passés à faire la fête à la maison... souvenirs de fêtards !!
Ton courage face à l'adversité a été incroyable et ton optimisme a été exceptionnel !!
Tu nous manqueras beaucoup mais ton souvenir restera toujours vivant dans nos coeurs.
Claudine, Bastien, Mauranne et toute la famille, nous sommes de tout coeur avec vous.
J'ai appris avec une grande tristesse la maladie de Alain, et hier son décès. Nous ne nous étions pas vu depuis de nombreuses
années mais j'ai encore en mémoire les moments joyeux et conviviaux partagés au CEFE, chez vous.... Je garde de lui l'image d'un
homme simple, drôle et heureux.
Je pense bien à vous en cette période très douloureuse.
Béné
J'ai eu le privilège de rencontrer Alain pour la première fois en 2007, sur nos terrains d'étude dans le nord-est de la Thaïlande. Toute nouvelle que j'étais à l'IRD, je me suis immédiatement sentie à l'aise pour échanger avec lui. Il n'a depuis jamais hésité à me consacrer son temps, que ce soit pour m'aider à choisir le bon matériel, m'en montrer l'usage, ou simplement partager son incroyable expertise. Une véritable mine de savoir !
Je garderai le souvenir indélébile de sa profonde gentillesse et d'une modestie déconcertante, surtout lorsque ses yeux s'illuminaient, brillant d'une intelligence si rare et éclatante. Nous saluons le départ d'une personnalité d'exception. Sa famille pouvait, et doit, en être immensément fière. Je leur adresse mes plus sincères condoléances. Cathy

A mon compère, mon ami Alain.
Je te dois beaucoup de choses aussi bien professionnellement qu’humainement
Mais aujourd’hui je me rappelle surtout du plaisir partagé de ces installations de terrain en coopération entre Afrique et Asie depuis 30 ans : de Souilène, à Buriram, PhonPisai et Niakhar
Et pour la bonne cause, car cela reste les rares contributions retenues pour l’Afrique de l’Ouest et d’Asie du Sud-Est dans la base mondiale du domaine et avec à la clé la formation d’un cortège de doctorants du sud toujours sympas et reconnaissants.
Et ta dernière mission à Niakhar en avril 2022 a été encore une fois un grand moment de travail et de plaisir avec ma petite famille qui nous a rejoint pour voir et comprendre un peu un village sénégalais et ce que nous faisions.
Je sais que tu seras mieux là où tu vas que pendant ces dernières années et derniers mois
Alors je te souhaite bonne route mon ami et repose en paix.
Fredo
Alain,
Nous ne sommes jamais préparé au départ
d'un ami, c'est tellement douloureux...
Nous allons garder en mémoire tous les
joyeux moments partagés en ta compagnie,
nous rappeler ton optimisme dans les
moments de doute et sourire au souvenir de
tes anecdotes et de ta bonne humeur.
Tu vas nous manquer... mais tu seras
toujours là parmi nous, parceque nous ne
cesserons jamais de parler de toi et nous
rappeler quel type formidable tu étais.

Je suis vraiment très triste d'apprendre le départ d'Alain, un collègue toujours serviable, très humain que j'appréciais beaucoup. Je garde un souvenir très agréable de nos échanges,
même si je ne l'ai pas énormément connu. Toujours prêt à mettre ses compétences au service du collectif, Alain était toujours là au delà de son unité via le Résem, ou juste en collègue
sympa!
On ne t'oubliera pas!
Myriam
Que de bons souvenirs avec toi Alain
depuis l'école primaire du Bourg jusqu'à
nos dernières visites à Teyran, sur le
chemin de nos vacances. L'art de
recevoir et votre hospitalité avec Claudine
faisait de ces passages dans votre
maison des moments riches et joyeux, qui
ont aussi marqué nos enfants, tout jeunes
à l'époque mais qui en conservent le
souvenir. Nous garderons de toi ta
gentillesse, ton humour, ton sourire et
tous ces bons moments vécus ensemble.
Courage Claudine, Bastien et toute la
famille.
Marietta et Olivier
Très triste d'apprendre la disparition d'Alain. Une pensée amicale à toi Claudine en mémoire de nos belles années passées ensemble
à Dakar
Alain c'était mon seul homonyme dans l'unité ECO&SOLS, on ne se pressentait que par "mon cher et unique alain" le ton était donné, il a toujours eu cette ironie, ce second degré chevillé au corps, cela a fait de lui un homme d'une élégance rare, un gentleman. Il ne se mettait jamais en avant, préférant l'ombre à la lumière, de ce fait ce sont les autres qu'il a fait briller ! car chez lui Le collectif n'était pas qu'un mantra, c’était une règle de vie. Discret raffiné, léger dans la forme, profond dans l’âme, préférant l'endurance a l’apparence, Alain a été au coeur de l'instrumentalisation terrain de l'unité. Diams et les arbres du sahel lui doivent beaucoup ! .. Tu vas sacrement nous manquer Alain, ou devrais je dire mon unique Alain..
Lors de la fusion de notre UMR nous
avons eu de nouveaux collègues de
travail et en particulier Alain
Rocheteau, j'ai pensé qu'il était cousin
avec le footballeur et non.
Nous avons très vite sympathisé et
c'était une personne qui aimait les
autres.
Alain tu avais toujours la bonne
solution sur le terrain lors des manips
Aussi nous avons partagé beaucoup
de bons moments autour d'un verre où
d'un bon repas.
Je revois dans l'ombre du couloir ta
démarche élégante.
Alain repose en paix tu es resté digne
jusqu'à la fin.
Tu vas nous manquer.

Alain,
Tu es parti trop vite !
Ton regard pétillant, ton écoute et ta discrétion sont partis avec toi mais nous gardons avec nous ton humour bienveillant, les rires, les gentilles piques à Elise et Hadrien (qui va les chambrer maintenant ?!) et surtout ton incroyable adaptabilité, toujours heureux du changement, passer plusieurs jours de terrain à Niakhar et déjeuner aux collines de Niassam (photo) avec la même bonne humeur, tant que Flag il y a ! Doux voyage...
Tout mon soutien à Claudine, Bastien, tes parents, tes frères et tes proches...
Je remercie Alain pour toutes les
qualités humaines manifestées au
cours de sa trop courte vie et
m'associe au deuil de ceux qui l'ont
aimé.
Vos amis de Dompierre pensent bien forts
à vous dans cette douloureuse épreuve.
Nous ne connaissions pas Alain mais on
imagine forcément une belle personne.
Courage Laurent et Cyril.
Sandra et Jean-Michel Le Berche
Il y a plus d’une 20e d’années je te rencontrais Alain, un nouveau collègue, py le gars de l’ouest, et py un véritable ami.
Que de souvenirs qui reviennent au galop, aussi bien au niveau de l’aile C du CEFE, à Puéchabon mais aussi à Teyran, à la maison où c’était un doux plaisir de se côtoyer, d’échanger de partager en famille.
Ta joie de vivre, ton énergie, ta volonté, ta niaque, ton état d’esprit incomparable vont nous manquer.
Carol se joint à moi pour vous apporter, Claudine, Bastien et Mauranne notre soutien dans ces moments difficiles.
Toutes nos condoléances.

Chers Claudine et Bastien,
C'est avec une profonde tristesse que nous venons d'apprendre le décès d'Alain.
C'est avec émotion que nous nous remémorons notre première rencontre à Abidjan, nos dîners au 'Maquis Poubelle' (là on étaient encore célibataires) et un fameux 1er avril avec la porte du bureau du directeur murée et l'accès au centre truffé de tuyaux d'irrigation... folle jeunesse! C'est aussi à ce moment que j'ai commencé à cotoyer un Alain sérieux, convial et plein d'initiatives.
Nous nous rapellons également notre séjour commun au Sénégal, en particulier nos virées sur l'île de Gorée. Et enfin sans oublier nos travaux en Thaïlande avec F. Do et repas à l'appartement de Bangkok.
Nous prions pour que notre Seigneur vous soutienne dans ces moments douloureux.
Nous vous embrassons bien fort, Martine et Norbert depuis Bangkok (escapade pour nos 38 ans de mariage), Norbert encore en poste au Laos qui prend sa retraite le 30/09 et Martine qui a finit d'enseigner à l'école Hoffet de Vientiane.
Il y a des moments où des êtres chers,
qui ont profondément marqué notre vie,
s’en vont bien trop tôt… Tu as été un
véritable guide pour moi, et je te dois
tant. Ta simplicité, ta convivialité, ta
générosité, ton ingéniosité et ton
courage m’ont toujours inspiré et
impressionné. Tu étais bien plus qu’un
collègue, bien plus qu’un ami : tu étais
un pilier, une présence précieuse.
Nous avons partagé tant de belles
aventures : couru ensemble dans la
garrigue de Teyran (même si, soyons
honnêtes, je t’ai plus freiné
qu’accompagné), descendu les gorges
de l’Hérault en canoë avec Damien et
Paulo, exploré les hauteurs de Pradelles,
festoyé au cœur des Cévennes, et même
traversé le désert marocain avec
Bastien, Claudine et Juliette.
Merci pour tout, mon ami. Hera Hera…
Plusieurs souvenirs refont surface: ta
rencontre avec chacun de mes enfants,
ton cri « chloeeeee » lors de mon premier
semi-marathon à Paris au mileu d’un
virage, de votre accueil toujours
chaleureux avec Claudine à Teyran, de
moments joyeux à Dakar, de soirées
festives depuis mon enfance. J’ai
beaucoup pensé à toi lors de mon premier
marathon, et j’ai toujours été très
admirative de tes exploits sportifs.
Je te souhaite un bon repos. Je penserais
beaucoup à toi, et tu vas me manquer.
Chloé
Alain c'est avec beaucoup de tristesse
que l'on a appris ton décès .Les
kilomètres les années ont fait qu'il y a
des années que l'on ne c'est pas revu
.Mais pleins de souvenirs remontent les
supers moments passés chez grand père
et grand mère Rocheteau que de
souvenirs avec mes cousins. La joie aussi
de partager un bon moment avec toi et
ton pote Jacques chez Robert et Béa à la
sablonnière . Et l'accueil très chaleureux
de Claudine et toi lors de notre passage
dans la région. Même si on a connu le
plus gros orage de notre vie chez vous
!!!Pour tout ça merci Alain. bon courage à
Claudine Bastien et sa petite femme ainsi
qu'à toute la famille Rocheteau et potes
.Bon vol Alain et j'ose espérer que la ou tu
iras tu retrouvera tous ceux qui nous on
quitté. ISA
J’ai rencontré Alain il y a plus de 20 ans, lors d’un repas organisé avec une partie de la jeunesse (doctorant, CDD) de l’UMR de Claudine. J’ai toujours été impressionnée par la passion avec laquelle il parlait de courses et de marathons, et c’est à ses conseils avisés que je dois tous mes progrès.
C'est avec une très grande émotion et une très grande tristesse que j’ai appris son départ.
Claudine, Bastien, je suis de tout cœur avec vous dans cette épreuve.
Tout au long de ses 25 ans de
voisinage, que de souvenirs avec des
conversations à travers les haies qui
se finissaient généralement autour
d'un café ou d'un (s) verre (s).....
Tu me disais "cher voisin" ....avec ton
sourire légendaire. De la complicité et
de l'entraide entre nous. Malgré la
maladie, tu gardais toujours le moral,
et tu as lutté jusqu'au bout. Respect.
De chaudes pensées positives à
Claudine, Bastien, Mauranne et à toute
ta famille. Marc et Martine BOUVY


Alain restera à jamais dans nos mémoires pour ses précieux conseils, son humour et sa gentillesse sans faille. Il a vu nos enfants grandir et nous continuerons à partager de bons moments tout en gardant sa mémoire vivante avec ceux qui lui étaient chers.
Alain, Claudine, Bastien et Mauranne,
Malgré ces tristes circonstances, c'est ce
combat contre la maladie qui nous aura
rapprochés.
Alain, ton départ trop rapide ne nous aura pas
permis de faire plus ample connaissance ;
mais comme tous et toutes ici, nous avons eu
le même ressenti à ton égard. Tout au long de
ce combat, tu es resté actif et attentif aux
autres. Nous en gardons le souvenir.
Claudine, nous savons l'épreuve que tu as
traversée; nous sommes là pour t'aider à
surmonter celle qui se présente aujourd'hui.
Bastien et Mauranne, nous vous présentons
nos très sincères condoléances.
Nous vous embrassons bien fort,
Pierre et Françoise
Quelle tristesse d’apprendre la disparition d’Alain. Même si je n’ai pas travaillé directement avec lui, je garde en mémoire quelqu’un de bienveillant, discret, simple, avec un brin d’humour et toujours le sourire !! J’entends encore sa voix lors de nos discussions à la volée, au bout de son couloir, après déjeuner, et lors des repas de Noël, dans les vieilles serres du TE où l’ambiance était très joyeuse et festive.
Je joins en souvenir une photo prise par un autre collègue en octobre 2008, lors d’un pique-nique du labo à Puéchabon. Alain est devant, dans la même lignée que ses collègues « Dreamiens » et TE. Chouette moment…
Je penserai à lui ce vendredi 18. Toutes mes condoléances vont à sa famille et ses proches.
Anne Gorgeon

Je n'arrive pas à trouver les mots tant le départ d'Alain m'emplit de tristesse. De son long combat contre la maladie que nous savions rude, il n'a jamais donné l'impression de perdre espoir, jusqu'à ses dernières visites dans l'unité... et nous nous attendions tous à le voir revenir bientôt pour partager, dans le temps qui restait avant sa retraite, le savoir faire unique qu'il a développé dans sa carrière, qu'il laisse dans ses réalisations et qui est si précieux pour toute la communauté.
Au-delà de l'immense compétence dans des techniques dont il a souvent été un des pionniers, de son dévouement et de sa rigueur exigeante dans le travail, c'est surtout la grande humanité dont il faisait preuve au quotidien qui nous a tous marqués. De sa voix grave pouvait sortir à tout moment un conseil bienveillant et empreint de sagesse, ou parfois sans qu'on s'y attende, un trait d'humour pince-sans-rire qui égayait la journée! Ce sont ces instants précieux que je garderai en mémoire.
À sa famille, à ses proches et à tous ceux qui ont eu la chance de croiser sa route, j’adresse mes pensées les plus chaleureuses.
Une matinée hivernale, ensoleillée et froide, dans la splendeur déserte de l'Abbaye du Mont-Saint-Michel, à se comporter comme de sales gosses dans l'insouciance de nos 20 ans...
Les soirées croque-monsieur chez Cyrille et sa poire orange...
Le concert Amnesty International dans la moiteur du stade d'Abidjan...
Nos haltes familiales, sur la route des vacances, dans votre maison de Teyran où nous, profanes, prenions plaisir à discuter, autour d'un vin d'Aniane, de stress hydrique, de cafés
costaricains...et de la vie!!!
Voilà, en vrac, ce qui me vient à l'esprit quand je convoque ton souvenir: un sourire, un rire, de la bienveillance...un mec bien quoi!!!
Tu vas nous manquer et, s'il existe un ailleurs, nous te le souhaitons accueillant et paisible.
Toutes nos pensées les plus affectueuse à Claudine et Bastien.
Stéphane, Karine, Amaël, Elijah et Tomò.
Alain, je viens d'apprendre la terrible nouvelle de ton départ. Elle m'attriste profondément. Nous n'étions plus vraiment en contact depuis mon départ d'Eco&Sols mais je garde des souvenirs précis des moments que nous avons partagés sur le plan professionnel et sportif entre 2014 et 2020. Tu m'as fait découvrir et partager ta passion de la course à pied. Partage, générosité et joie de vivre, ce sont les mots qui me viennent en pensant à toi.
J'adresse mes plus sincères condoléances à ta famille à qui tu dois manquer énormément.
Adieu mon ami.
Alain,
Tu es parti trop vite et trop tôt…. On s’est
rencontré au marathon du Pic dans les
années 2010. Nous avons fait notre
premier marathon à Barcelone en 2011
où tu nous avais tous battus en
descendant largement en dessous des
3h30. Cette performance avait valu
quelques chambrages autour d’une
bière…..
Nous retiendrons ta bonne humeur, ton
sens de l’humour qui nous a déclenché
quelques fous rire ainsi que ton
optimisme permanent.
Claudine, Bastien, nous pensons très
fort à vous.
Nathalie et Olivier
Recevez toutes nos pensées et notre
soutien. Nous sommes reconnaissants
d’avoir pu partager un moment de
bonheur avec Alain lors du mariage de
Mauranne et Bastien il y a quelques mois.
Rémy & Julie

Quand j’ai rencontré Alain pour la première
fois, c’était au mariage civil de Bastien et
Mauranne. Pourtant, il m’a tout de suite
saluée comme s’il me connaissait depuis
toujours.
Ce weekend pour célébrer l’amour de son
fils et de sa belle-fille était un magnifique
moment de bonheur partagé ensembles,
avec Claudine, avec ses parents, les
témoins et la famille de Mauranne.
Alors que je le connaissais à peine, il a
même réussi à me donner le courage pour
courir ma première course. Pour moi,
c’était ça Alain, du partage, de la
détermination, des encouragements et
toujours le mot pour nous faire rire.
Je n’oublierai pas les jolis moments que
nous avons pu partager tous ensembles.
Il va nous manquer 🤍




Tu commençais invariablement par « Môôôssieu Roupsard… » Puis tu te redressais et te fendais gentiment la poire en tournant la tête de côté. Tu avais droit alors à ton « Môôôssieu Alain… », forcément, puis on se fendait la poire tous les deux.
Je crois que tu m’as toujours revu dans ce jogging vert du lundi dans le couloir du CEFE, dont les poches pendaient en-dehors parce que j’avais fait la lessive le dimanche et que ce n’était pas encore bien sec… Et cette vision te faisait exploser de rire, 30 ans après encore. Pourtant, ça aurait été pire avec les poches mouillées en-dedans, ou bien ? Au diable le ridicule !
C’est grâce à Claudine bien sûr qu’on s’est rencontrés la toute première fois, pour l’Acacia au Sénégal, en 1995. Sur ton bureau à bel air, il y avait une belle plaque « Ecophysiologie », j’avais trouvé ça très chic, je l’ai exhumée 22 ans après. Avec Fred, vous étiez les princes de Souilène, et moi j’étais juste venu du Burkina vous parler d’une autre espèce, encore plus étrange que l’Acacia tortilis, le Faidherbia. On y est revenus depuis !
3 ans après, j’étais au CEFE, et ce fut toi le visiteur, avec Jean-Marc. Je nous vois encore en haut de l’échafaudage de Puéchabon, tous farfouillant dans la boite du 6262. Passation de consignes taf-taf, ce trop fut court mais ce fut bon. Qu’est-ce qu’on a rigolé ! J’aurais adoré poursuivre avec vous 2. Tu as eu la peur de ta vie
Les quelques jours passés avec Alain
à Niakhar au Sénégal, à travailler
comme si on avait toujours travaillé
ensemble, à écouter ses conseils et
ses histoires furent un pur bonheur!
Pas une minute ne passait sans rigoler
! Et quelle efficacité !
Je ne t'oublierai jamais Alain
Adieu "patron".
Toutes mes très sincères
condoléances.
Fred.

Alain,
Je n'oublierai jamais les trajets lycée en ta
compagnie pendant lesquels s'exprimaient ta
personnalité que j'appréciais tant : humour
toujours bien placé et souvent pinçant, bonne
humeur et conversations qui me donnaient
l'impression d'échanger avec un ami du même
âge.
Ton sourire profond et ton "Salut Olver" qui
accompagnaient chacune de mes visites chez
vous donnaient le ton de moments toujours
joyeux et sincères.
Tu as mené un combat contre la maladie avec
une grande force de caractère, un optimisme
sans faille et sans jamais perdre ton sens de
l'accueil chaleureux.
Ces belles valeurs sont une source
d'inspiration que je m'efforce de garder en tête
dans les moments difficiles.
Au revoir cher Alain
Nous pensons très fort à vous dans ces
moments douloureux et partageons votre
peine. La perte d'un être cher est si injuste
Alain restera pour toujours dans nos cœurs.
On vous embrasse.
Marie Odile et Gilles
Une pensée pour Alain, et ces repas partagés
dans la joie, les rires et l'amitié.
Merci pour ces moments, Alain ! Repose en
paix
Melanie
Condoléances attristées. Et meilleurs pensées à Claudine et son fils, à toute la famille. Les souvenirs s'entremêlent de ce temps de
joie en Côte d'ivoire des années 80. Avec un dénominateur commun à Alain et Claudine fait d'affabilité, d'amabilité et de sourires et
de partages de moments fraternels. Nous étions jeunes... sans aucun doute . Heureusement les cœurs d'Alain et de Claudine sont
resté les mêmes. Merci pour la vie d'Alain. Merci Claudine.
En pensées en ce jour, en prière d'Espérance.
Emmanuelle et Régis
Sommes de tout cœur avec vous
par la pensée en ce jour pénible,par
la perte d’un être cher.bon courage
Sommes de tout cœur avec vous
par la pensée en ce jour pénible
par la perte d’un être cher.bon
courage. Jean Bernard et
Catherine

Si Papa et Maman t'ont choisi pour
être mon parrain c'est par ce que ,
comme moi et tous ceux que tu as
rencontré , leurs laissé un marque
indélébile. Celle d'un homme
remarquable , accueillant , proche des
autres et rayonnant par sa
personnalité. J'ai profondément
apprécié chaque moment ensemble,
malgré la distance je pouvais ressentir
le lient nous unissant.
Repose en paix Alain .
Ton filleul
Toutes mes pensées vont vers vous en ce
jour si triste.
Je garde précieusement tous nos bons
souvenirs, nos très nombreuses rigolades.
Que de chouettes moments de partage !
Je pense fort fort à vous.
Juliette


"Paaatlon !"
Cette fois je ne l'entendrai plus. Et c'est
dans les souvenirs qu'il faudra fouiner
pour entendre ta voix rocailleuse pleine de
malice. Il n'est jamais trop tôt pour s'en
aller, mais toi là vraiment, tu as devancé le
calendrier de la vie. Ce n'est pas faute
d'avoir lutté, le combat était inégal, injuste,
et l'issue est carrément insupportable. Je
garderai de toi ta gentillesse (y'a pas
draa...), ton dévouement (bon y'a plus
qu'à...), ton abnégation (faut que ça
marche...), ton intransigeance (non
Paaatlon, la batterie de la Campbell ne
peut pas alimenter tes scanners !), ta
rigueur (le fil rouge sur le bouton rouge, le
bleu sur le bouton bleu...) et tous ces bons
moments partagés ici ou là-bas autour
d'un bon apéro ou d'un sandwich sardine -
vache qui rit !
J'ai planté un Fracké (Terminalia superba)
en ta mémoire, près de la nouvelle tour à
Ntui, au Cameroun, tu aurais tant aimé
venir bricoler avec nous...
Ciao l'ami...
Effaz,
alias Christophe Diop
Alain, mon cher beau frère.
Ton départ a fait se réunir toute
la famille chez vous à Teyran. On
pensait ce moment irréalisable et
pourtant tu l'as rendu possible.
Encore une belle réunion de
famille ! Mais tu n'étais pas là...
J'ai apprécié chaque moment
passé ensemble. J'ai adoré ton
attention portée à Gabrielle et
Basile. Vos longues discussions,
vos rires et mêmes vos délires
ont été riches et parfois
attendrissants.
J'ai adoré votre complicité avec
Benoît, jusqu'à vos blagues
lourdes qui ne faisaient rire que
vous, nos soirées en terrasse à
refaire le monde.
J'ai aimé notre confiance
réciproque et ton soutien comme
celui de Claudine dans certains
moments difficiles.
Ton optimisme permanent et ta
lutte contre la maladie nous ont
donné encore une nouvelle leçon
de vie.
Bref. tu nous a apporté
énormément et de.toute
évidence tu vas beaucoup me
manquer.
Je sais que de là haut tu veilleras
sur nous
Et nous, nous veillerons sur
Claudine, Bastien et Mauranne.
Au revoir mon beau-frère que
j'aime
Laurence
Tonton Malain,
Ton rire éclatant nous laissera un souvenir impérissable. Il allait magnifiquement bien avec ton sens de l'humour et ta bonne humeur permanente.
Tu nous en laisses plein des souvenirs, aussi bien ceux des inoubliables repas de famille que lors de nos passages chez vous à Montpellier. Que ce soit dans l'enfance pour passer un bout de vacances avec Bastien, Claudine et toi, de passage avec la bande de copains qui t'ont manifestement marqué, ou encore notre dernière venue avec Thibault et la visite du fameux zoo !
Bon dernier voyage et merci pour tout.
Louise, Élie et Thibault.
J ´ai passé de très bons moment
avec toi Alain.Tu restera dans
mon cœur .
Roxane
Mon frère adoré.
Tu es pour moi un exemple de bonté
et de courage.
Nos discussions sérieuses et surtout
nos discussions pas sérieuses vont
terriblement me manquer.
Te voilà enfin délivré de toutes tes
souffrances, tu mérites bien de te
reposer.
Tu seras toujours dans mon cœur,
mon frère adoré.
Ton petit frère qui t'aime.
J'ai beaucoup de choses à dire sur toi
tonton, mais j'ai peur qu'elles soient mal
dites sur papier.
Tu étais, tu es, et tu seras, à jamais une
part de moi et l'énergie positive,
chaleureuse, qui me dira toujours
comment me battre, ne jamais
abandonner.
L'optimiste qui ne se plaignait pas, qui
faisait comme si le cancer n'était pas là.
Tu le savait, nous aussi on le savait, mais
parfois tu arrivais à nous le faire oublier.
Les étés à Montpellier vont être étranges
sans toi, mais je sais que tu sera là quand
même, assis au bord de la piscine à fumer
ta cigarette...
Merci infiniment, je t'aime.
Gabrielle
Alain, toi mon frère de toujours , tu es au milieu de nous tous. D’ailleurs tu as souvent été au milieu de nous , pas parce que tu
voulais être le point central, mais parce que tu rayonnais naturellement . Tu nous régalais avec tes bons mots et aussi avec tes
attentions particulières. On se voyait moins souvent à cause de la distance qui nous séparait, mais chaque rencontre était
vraiment intense. Alain, ça rime avec malin, taquin et tu as été le meilleur bout en train de la famille. Tu nous as donné quelques
leçons de patois Montpellierain. Grâce à toi, nous savons quicher et enquiller. De retour en Vendée tu aimais aussi parler le patois
local et le plat de mogettes que préparait maman te procurait toujours un grand plaisir. Au delà de la rigolade, tu avais aussi ce
regard aimant pour ta famille, tes belles sœurs qui étaient comme tes sœurs, tes nièces et neveux que tu adorais. Tu as toujours
mis les autres en avant et fait en sorte qu'on se soucie le moins possible de ta santé. Tu t’es battu comme un lion jusqu’au bout, je
suis tellement fier de toi. J’ espère que maintenant tu profites de ce repos que tu mérites tant. Repose en paix mon frère , je t’aime.
Tu vas énormément me manquer toi Alain
mon beau-frère, le tonton merveilleux que tu
as été pour nos enfants.
Pleins de bons moments passés ensemble
avec Claudine, Mauranne et Bastien.
Dans mes souvenirs, je pense à ce beau
voyage au Sénégal, cet inoubliable bivouac à
Souilene et aussi aux évènements sportifs
pour être présents sur le bord de la route
pour Bastien et Laurent toujours aux bons
moments et aux bons endroits. On en a fait
des km ensemble...
Dernièrement tu as aussi écouté mes
conseils pour que tes sourires sur nos photos
familiales soient parfaits ("Alain arrête de
parler s'il te plaît..." )
Tous ces moments resteront à jamais dans
mon cœur ❤️


Alain déjà 9 jours que tu nous as quitté et
toujours d'énormes tourbillons agitent mon
cerveau. Aujourd'hui, je me rends compte à
quel point nous étions liés et que tu étais une
modèle pour moi. Tu étais mon référent
technique pour mes problèmes d'électricité
mais pas que..., tes explications étaient
toujours sans ambiguïté, mais plus que cela
encore ton audace et ton insouciance pour
profiter de la vie sont tout ce que je n'ai pas
vraiment osé faire, tu es et resteras toujours
un exemple pour moi ❤️
Bien chère Claudine,
Je n'ai connu Alain que par ses publis et au travers de nos échanges amicaux à toutes les deux, je suis de tout coeur avec toi dans cette épreuve si cruelle. Toutes mes condoléances attristées à Bastien et à votre famille.
Bien affectueusement, Francine Delmas
Triste d'apprendre ton départ vers
d'autres cieux.
Il est vrai que la dernière fois que je t'ai
vu ça remonte à des années mais j'ai
souvenir d'un jeune homme d'une grande
sensibilité avec un humour décapant.
Repose en paix
Alain
Je garderai de toi tout ce que tu nous a donné et c’est tellement….
Je garderai de toi tous les souvenirs de jeunesse, les sorties du samedi soir avec la bande du p’tit bourg. Un séjour partagé à Villiers sur Marne pour le passage de
ton concours à l’ORSTOM...
Je garderai de toi, ce regard bleu azur si bienveillant envers les plus fragiles ou ceux que tu comprenais si bien.
Je garderai de toi ta voix grave et ronde, incomparable, inimitable, la tienne quoi !
Je garderai de toi ton sourire et tes bons mots, des traits d’humour placés juste quand il faut.
Je garderai de toi ta résilience et ton humilité face à la maladie.
Je garderai de toi, l’image d’un frère, que je n’ai jamais eu mais qui lui ressemble tant.
Tu vas manquer à tous. Repose en paix mon « beau » frère.
Catherine

Il y a des personnages qui marquent notre
vie par leur sincérité, leur dévouement,
leur implication, leur générosité, leur
intelligence simple, le tout enrobé d
humour, d espièglerie et de sensibilité. Un
combo magique qui faisait de nos
journées/soirées avec Alain un réel
bonheur. Merci pour tout ce que tu as
apporté à tant de personnes. Mes sincères
pensées à Claudine et Bastien et encore
merci d avoir eu la chance de croiser vos
chemins. Bon vent à notre gars de l ouest,
dont le souffle continuera d effleurer nos
mémoires et nos capteurs.
PS: photo Tunisie avril 2011. Ils marchent
toujours ces capteurs…
Alain,
Sans nommer un souvenir comme étant
le meilleur j’évoquerai plutôt nos
conversations : impliqué et très
concerné par les histoires que je te
partageais, tu rebondissais avec tes
anecdotes et souvenirs toujours à
propos. C’était drôle et rassurant, ça me
faisait du bien !
Ta voix grave, sérieuse (mais sans l’être
!), ton espièglerie et ton regard toujours
doux font de ces moments le plus ancré
et plus tendre des souvenirs.
En plus de ce que j’ai évoqué
précédemment, ce que j’adorais à ton
contact, c’était ta liberté. Je sais qu’elle
n’était pas toujours légère mais elle
évoquait, elle évoque, chez moi la force
de faire des choix et celle de chercher
cet équilibre entre l’épanouissement de
ceux qu’on aime et sa paix à soi.
Merci pour tout ça, tu vas beaucoup me
manquer. Mais je sais aussi que tu
répondra présent dans l’invisible.
Repose en paix,
Avec toute ma tendresse.
Valentine
Tonton Alain,
Au milieu de la pagaille générale de ma tête et de l’insupportable douleur de ce coup au cœur, j’ai découvert stupéfaite qu’il y avait
aussi une place pour garder le meilleur.
Au fil des jours, les souvenirs des jours heureux passés à tes côtés s’empilent.
Au fil des jours, ta voix de baryton et ton accent chantant gagné au fil du Sud résonnent en moi.
Au fil des jours, ton esprit taquin me revient, comme cette anecdote du « cake de mamie » que tu aimais tant à me rappeler.
Au fil des jours, des mois et des années, la chaleur qui animait nos tablées par ta présence refera surface.
Ta tendresse, ton humanité et ta force sont les souvenirs que je garderai indélébiles.
Tonton Alain, tu étais, et tu seras à jamais un tonton "top moumoute" pour moi. De ceux dont on rêve en secret.
Prends soin de toi là-haut, et compte sur nous pour veiller sur tous ceux que tu laisses orphelins ici-bas.
Fanny
Cette voix de ténor qui résonnait dans les couloirs nous englobait, nous rassurait. Nous ne l'entendrons plus. Quelle tristesse. Pourtant tu es resté toujours positif, c'est toi qui nous remontait le moral quand on avait la
chance de te croiser ces derniers mois. Je ne t'ai pas beaucoup connu, irrattrapable ! Claudine, je pense bien à toi. Amicalement,
À la mémoire d’Alain
J’ai rencontré Alain sur un tapis de
yoga, là où l’on s’attend à croiser le
calme, j’y ai plutôt vu l’élan, la vivacité,
un enthousiasme presque enfantin qui
faisait sourire.
Plus tard, nos chemins se sont rejoints
autrement, lorsque la maladie s’est
imposée dans nos vies.
J’ai alors découvert un homme
courageux, profond, toujours en
mouvement malgré la douleur, capable
de savourer la vie jusque dans ses
recoins les plus simples.
Avec Claudine, ils formaient un duo
admirable et solidaire.
Leur manière d’affronter l’épreuve m’a
profondément touchée.
Alain laisse en moi le souvenir d’un
homme résolument tourné vers la vie.
Qu’il repose en paix. Et que Claudine
ressente toute l'affection et
l'admiration que j'éprouve pour elle.
A la famille et aux proches, j’adresse
mes pensées les plus sincères.
Cathy Garcia
À la mémoire d’Alain
J’ai rencontré Alain sur un tapis de
yoga, là où l’on s’attend à croiser le
calme, j’y ai plutôt vu l’élan, la vivacité,
un enthousiasme presque enfantin qui
faisait sourire.
Plus tard, nos chemins se sont rejoints
autrement, lorsque la maladie s’est
imposée dans nos vies.
J’ai alors découvert un homme
courageux, profond, toujours en
mouvement malgré la douleur, capable
de savourer la vie jusque dans ses
recoins les plus simples.
Avec Claudine, ils formaient un duo
admirable et solidaire.
Leur manière d’affronter l’épreuve m’a
profondément touchée.
Alain laisse en moi le souvenir d’un
homme résolument tourné vers la vie.
Qu’il repose en paix. Et que Claudine
ressente toute l'affection et
l'admiration que j'éprouve pour elle.
A la famille et aux proches, j’adresse
mes pensées les plus sincères.
Cathy Garcia
Certains t’appellent Alain, d’autres
t’appellent « Rocheteau » quand tu fais
des bêtises, ou « Forrest » quand tu
cours. Moi, j’ai la chance de pouvoir
t’appeler Papa.
Papa, je tiens à te remercier pour tout
ce que tu m’auras donné et transmis,
pour tes hauts comme pour tes bas, et
pour l’éternelle complicité qu’on aura
bâtie.
Tu es et seras toujours plus qu’un père
pour moi, un repère qui je le pense me
guide vers le droit chemin. Ton
absence sera présente avec moi au
quotidien, et je te promets d’en faire
une source d’amour et de vie.

C’est avec une très grande tristesse que j’ai appris le décès d’Alain. Nous nous sommes connus au laboratoire d’Ecologie, à Dakar
en 1992. Il était chargé de mettre en place des dispositifs de mesure et de suivi des paramètres climatiques et écophysiologiques
in situ et d’assurer un soutien informatique. Nous avons tous rapidement apprécié ses compétences, sa rigueur et sa fiabilité. Nous
nous sommes ensuite retrouvés à Madagascar où je l’ai, à nouveau, sollicité pour la mise en place d’une station climatique
automatisée.
Au-delà de ses qualités scientifiques et techniques reconnues de tous, j’aimerais rendre un hommage particulier à celui qui a été
aussi pour moi un compagnon de brousse. Que de contrées avons-nous parcourues ! Que de découvertes avons-nous partagées !
J’appréciais tout particulièrement les moments de fin de journée quand la détente prenait le relais sur le travail. Là, je retrouvais
l’homme aux qualités humaines exceptionnelles. Calme, serein, passionné, à l’écoute, altruiste et doué d’une appréciation toujours
juste des hommes et des événements.
J’adresse à sa famille et à ses proches mes sincères condoléances. Soyez assurés de tout notre soutien. Et que le chêne que nous
avons choisi et qui sera planté soit le témoignage de notre souvenir.
Michel Grouzis

Cher beau-père préféré,
Merci pour les innombrables moments de
franche rigolade, merci pour toutes les
balades qui m'ont permis de découvrir
cette région chère à ton cœur (même les
incursions dans le Gard !), merci pour
l'enthousiasme et les encouragements
lors du semi de Toulouse et toutes les
sessions de course à pied, merci pour les
improbables histoires de voyages, merci
pour les quantités déraisonnables
d'arachides, le bon vin (de l'Hérault,
évidemment) et le beurre salé qui
m'attendait dans le frigo.
Ces trois années n'ont pas été faciles,
c'est un euphémisme, mais merci de
t'être battu jusqu'au bout, avec ton
optimisme infatigable et ta détermination
inébranlable qui t'ont permis, malgré tout,
d'en profiter au maximum.
Tu vas nous manquer, mais rassure toi, tu
continueras de nous accompagner au
quotidien, tu ne seras jamais bien loin, et
je continuerai d'entendre ta voix de ténor
qui me rappelle de ne pas laisser traîner
mes affaires dans le salon (et je rangerai,
promis !), de penser à toi à chaque to-do
list à rallonge et surtout à chaque jeu de
mot, expression détournée ou
contrepèterie (pas toujours de qualité, tu
en conviendras).
Ta belle-fille préférée (c'est toi qui l'a dit
!)
Créez un album collaboratif en réunissant les souvenirs des proches de Alain ROCHETEAU, pour vous ou pour une délicate attention.