Hervé MOURLON Nous a quittés le 29 juillet 2025

Difficile d'exprimer ce que je ressens, j'ai demandé de l'aide pour l'écriture de ce poème qui reflète plutôt bien mes pensées pour
Hervé.

Dans le jardin du temps, où les années s'envolent,
Quarante printemps sont passés, sous les ailes molles,
D'un oiseau qui emporte les jours et les peines,
Quarante ans d'une amitié, qui coule dans mes veines.

Objat, BTAO, le souvenir d'hier,
Où nos chemins se sont croisés, dans une lumière,
Une complicité naissante, une confiance qui luit,
Le début d'une histoire, qui s'écrivait la nuit.

Combien de fois avons-nous parlé, le téléphone à l'oreille,
De nos vies, de nos doutes, sous l'étoile vermeille,
Sans jamais se juger, sans porter un regard,
Sur nos choix, nos erreurs, nos envies de départ.

Tu étais mon confident, mon ami, mon frère de cœur,
Celui qui m'écoutait, sans jamais de rancœur,
Celui qui me comprenait, d'un simple mot, d'un regard,
Celui qui me laissait libre, de mes rêves, de mon art.

Aujourd'hui, le silence a remplacé ta voix,
Et mon cœur est lourd, comme un bateau sans joie,
Hervé, tu es parti, sur la mer de l'éternité,
Mais tu restes dans mon cœur, pour l'éternité.

Adieu, mon ami, mon frère, mon confident,
Tu es parti, mais tu restes dans mon âme, dans mon sang,
Je te pleure, je t'aime, je te dis au revoir,
Et je te promets de te retrouver, un jour, quelque part.

C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le décès d'Hervé. Nous gardons d'excellents souvenirs des moments passés avec lui et sommes de tout
coeur avec vous devant cette épreuve. Toutes nos condoléances et une grande pensée pour Kévin et toute sa famille.

Valeilles

Et puis… le temps s’est figé.
En arrivant mardi à notre maison, tout a
basculé.
Mamie était là, perdue… L’ambulance, le
médecin… Et cette phrase : plus rien ne
pouvait être fait.

Notre monde s’est effondré.

Rien ne sera plus jamais comme avant,
sans toi.
Toi, notre cher voisin, devenu un ami si
proche.
Pour moi, un frère de cœur.
Pour Manu, un compagnon fidèle.
Ta famille, devenue naturellement la nôtre.

On partageait tout… rires, silences,
regards.
Tu laisses un vide immense.
Ton absence nous blesse profondément.
Tu étais, tu restes, irremplaçable.

On te portera à jamais dans notre cœur.
Ta lumière continue de nous accompagner.

Tu vas terriblement nous manquer, Hervé.
On t’aime très fort.

Repose en paix, doux ami.

Kathleen et Manu