Tous les hommages rendus à Philippe BOTALLA-RAYNAL

Retrouvez ici tous les hommages, souvenirs et photos déposés en la mémoire de Philippe BOTALLA-RAYNAL

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Créez un album collaboratif en réunissant les hommages à Philippe BOTALLA-RAYNAL, pour vous ou pour une délicate attention.

PHILIPPE BOTALLA-RAYNAL

1958 - 2025

$"Profil

Philippe a toujours été un homme
formidable, plein de gentillesse et
d’humour. Je me souviens
particulièrement à quel point il était cultivé
et passionnant. Il avait le don pour
toujours nous apprendre quelque chose
sur n’importe quel domaine. L’écouter
parler de sa passion pour les animaux, le
jardinage ou encore ses fameuses
recettes va beaucoup me manquer. C’était
un chef remarquable !
Je m’associe à votre peine et vous
présente mes sincères condoléances.

Marine GOMBART

Très peiné d'avoir perdu mon Ami, la
distance entre nous nous a quelque peu
éloigné mais j'ai toujours eu des
pensées positives pour Philippe.
Toutes mes sincères condoléances à
Cathy, Coralie ainsi que toute sa famille.
De Coco Bel Ange

Joel BEL ANGE

$"Souvenir

Je t'ai vu t'éloigner vers un autre
rivage, j'ai tout d'abord cru que c'était
un mirage...il y a des choses difficiles
à accepter....

Cathy .....

C’est avec le cœur lourd que nous
rendons hommage à Philippe qui a marqué
nos vies par sa gentillesse, son humour et
sa curiosité. Son souvenir restera à jamais
gravé dans nos cœurs. Repose en paix.
Odile et Serge

Serge Odile GOMBART

$"Souvenir

Encore un bon copain qui part trop tôt.
Nous nous retrouverons tous la haut !
Salut Philippe !.

Jacques GAZZANIGA

Notre dernière rencontre : tu es là, dans ce lit d’hôpital. Moi qui t’ai toujours connu fort et protecteur, je te vois ici plus fragile que jamais, et si vulnérable.

Pendant un long moment, tu fuis mon regard. De tout évidence, tu ne me reconnais pas. Pourtant, quand Cathy et Coralie sortent pour une consultation avec le corps médical et que je m’assoie tout près de toi, tu m’offres soudain un bref moment de connexion et de pleine conscience. Sans nul doute, tu m’identifies et je retrouve brièvement mon frangin de toujours. Instant fugace, moment précieux. Alors que je sens ton esprit de nouveau repartir vers des contrées inaccessibles, je te parle de notre enfance, de notre grand-père Antoine, et je serre très fort ta main.

Te quitter est terrible. Une étreinte, qui sait, peut-être la dernière, et je sors de la chambre.

Dans le couloir, une tempête m’attend. Des vagues d’émotion s’abattent sur moi. Du bruit, du vent, de la fureur. Je suis durement malmené, petite coquille de noix sur un océan déchaîné. Ça secoue, ça brasse, ça éclabousse. D’ailleurs, j’ai plein d’eau dans les yeux…

Alain

Une grande gentillesse, une belle
tranquillité comme la campagne qu’’il
aimait tant. Tout près des animaux,
c’est ce que j’aimais bien. Courage et
bises à Cathy et Coralie.

Annie (Zanie) DUCROCQ

Philippe, membre emblématique de
l'association de notre commune, tu
étais LE grand spécialiste de la
brocante de Boinville le Gaillard.
Ta gentillesse et ta bonne humeur vont
manquer à bon nombre de tes amis,
dont nous faisions partie.
Toutes nos pensées vont vers toi et
pour ta famille.

Guylaine et Sylvain LAROYE

Toutes mes condoléances à mon amie
Cathy et Coralie et mes affectueuses
pensées pour Philippe.
J’ai peu connu Philippe mais j’étais à
votre mariage et Cathy, tu me donnais
des nouvelles de votre vie près de la
nature et réciproquement. Notre lien
d’amitié est né au travail il y a bien
longtemps. Nous avons partagé
quelques épreuves et c’est le soutien qui
a de la valeur dans ces cas là.
Je pense à vous très fort et espère te
voir bientôt Cathy.
Je vous embrasse.

marie-claire AYRAULT

Philippe,
Quelle peine ! cette nouvelle déchirante de ton départ.
Après des années de travail ensemble, tu es devenu plus qu'un collègue, un copain, un ami.
Le cours de la vie de chacun, nous a éloigné, mais jamais je n'oublierai cette personne sympa, jovial, plein d'humour et toujours là pour fêter les événements joyeux de nos vies.
Ton mariage il y a quelques années, reste un très beau souvenir .
Nous nous retrouverons tous un jour, c'est sûr ! On fêtera ça ! ...
Avec beaucoup d'émotions, Tchao Philippe !
Nous adressons toute notre amitié et nos condoléances à ta famille .

Christian et Carmen JEGO

CHRISTIAN JEGO

$"Souvenir

Je suis tombé sur ce texte parlant des
abeilles le lendemain de la
cérémonie....et je me suis fait la
réflexion qu'effectivement les abeilles
🐝 ont abandonné les ruches du bas
depuis un an, comme si elles savaient
que Philippe ne pouvait plus y
descendre, ellles se sont installées au
plus près de la maison, certaines sous
le toit, d'autres sous le hangar.
Philippe leur avait ouvert une ruchette
mais et ça il ne l'a pas vu, elles ne s'y
sont pas installées comme si elles
savaient que cela serait provisoire,
sans avenir, alors comme un dernier
hommage à celui qui s'est si bien
occupé d'elles pendant cinq ans ont
construit entièrement un rayon entre
les ruchettes...

Cathy .

$"Souvenir

Cathy ..

Cher Philippe,
Tu savais tout sur mille choses, et tu
savais surtout en parler avec passion —
jamais pour briller, toujours pour partager
avec un brin d’espièglerie.
Ton accueil chaleureux, passait par ces
petits plats préparés dans les règles de
l’art, comme un geste d’amitié silencieux.
Chez vous, on se sentait accueillis.
Tu avais même la délicatesse de ne pas
jouer au Rummikub avec nous surtout
pour nous épargner une défaite trop
cuisante.
Fier de tes ruches, proche de tes animaux,
tu étais profondément attaché au vivant,
au vrai.
Merci pour ta présence, ta générosité
tranquille.
Tu restes dans nos cœurs.
Céline, Apolline, Maëlle et Camille

Céline VIGNON

À toi cher Philippe,

Il est de ces rencontres qui marquent et je dois bien l’avouer tu m’as tout de suite impressionnée je dirai même fascinée. Je te trouvais tellement sûr de toi, dynamique avec une sacrée force de caractère.
Charmeur et touchant d’une si profonde générosité à recevoir, à donner naturellement en toute authenticité.
Partager tes délicieux petits plats, la plupart accompagnés de leurs histoires et de leurs recettes à demi-mots révélées. J’ai encore le goût unique de ta fameuse sauce bolognaise.

Tu incarnes tout simplement un trésor de gentillesse, de bonté, de courage, de persévérance qui cache discrètement une pudique et secrète sensibilité avec beaucoup de respect et d’amour.
C’est ce qui te rendait mystérieux tout en étant très présent et pertinent.
Érudit de la vie, curieux de tout, aucun sujet ne t’échappait, aucune espèce animale, botanique et…humaine. Tu avais le plus souvent toujours raison sans t’imposer, sans te faire trop d’illusions.

Je te vois devant ton ordinateur à surfer comme un équilibriste en prenant patiemment le temps avec tes incomparables recherches à dénicher d’astucieuses et d’incroyables trouvailles,
Tu étais impressionnant à décortiquer le moindre détail pour mieux saisir le fonctionnement de chaque chose et tu savais tant de choses! incollable, une culture générale qui n'avait rien d'égal.
Tu allais a fond dans tes passions...


Valerie MONTES-PHULPIN

...Tu n’as jamais cessé de tous nous enrichir et nous faire grandir de toutes tes connaissances.
À chaque rencontre, j’apprenais quelque chose. Toujours une anecdote à raconter, une passion à partager.

Avec ton fabuleux sens de l’humour, tu me narguais souvent sans vraiment savoir si c’était pour de rire ou pour de vrai. Tu me provoquais sur certains sujets, l’art habile de remettre en question.
Tu avais le don de t’émerveiller devant la beauté de la nature, la beauté de la vie. Tous nos cœurs ont leurs souvenirs avec toi.

Tous les animaux portent un peu de toi, Cracotte saura faire vibrer le son de ta voix. A chaque abeille, il y aura la douceur de ton miel, à chaque arbre un parfum de tes agrumes et partout ton amour de la nature.
Merci d’avoir été dans nos vies et de tout ce que tu as sincèrement donné et vraiment semé... ...

Valerie

Où que tu ailles, je sais que tu veilleras au grain. Nous veillerons sur Cathy et Coralie tout autant passionnées et nous cultiverons tout ce que tu as répandu avec amour.

Tu t’en es allé en toute délicatesse pour continuer à nous inspirer une profonde beauté de la vie.
Je crois bien qu’à présent, on ne va pas pouvoir faire autrement que de contempler et de s’émerveiller, de la beauté de la nature, et de l’authenticité des animaux.

Beau voyage mon Philippe.

Valerie MONTES-PHULPIN

On t'aime !!




R'mione et Ulyane

Anonyme

$"Souvenir
$"Souvenir

Cathy BOTALLA

$"Souvenir

Cathy BOTALLA

$"Souvenir

Vous avez déjà du partager un autre
verre en échangeant a propos des
courses!!
Je vous aime...

Cathy BOTALLA

$"Souvenir

Cathy

Très cher Philippe, pourquoi es-tu donc parti, toi aussi, si tôt, trop tôt ? Ecrire sur cet écran pour toi qui est loin et si proche en même temps, surtout tout à côté
de Cathy et ta merveilleuse fille Coralie, m'évoque la chanson de Noir Désir "Le vent nous portera". " Je n'ai pas peur de la route. Faudra voir, faut qu'on y
goûte. Des méandres au creux des reins. Et tout ira bien. Et tout ira bien. Le vent nous portera", etc.
Homme beau et bon, sensible, intelligent et cultivé, tranquille et curieux de tout, tu étais aussi plein d'humour. Inventif, imaginatif, adroit de tes mains, tu savais
tout faire ; même emmener en vacances, un bouc, une chèvre, un chat... Fou de campagne, tu manqueras beaucoup à " La Brissonnière" qui appréciait se voir
fleurie, couverte de légumes à gogo à chaque saison, et inondée de couleurs.
Ton absence pèse déjà énormément à Cathy, ta charmante femme et à Coralie, ta grande fille adorée qui poursuit ses hautes et longues études.
Au revoir Philippe. Que le vent et les nuages te portent !
"Pendant que la marée monte et que chacun refait ses souvenirs. J'emmène au creux de mon ombre, des paroles de toi. Le vent les portera. Tout disparaîtra
mais le vent nous portera". Je me joins à vous toutes et tous, Cathy, Coralie, la maman et le frère de Philippe, ainsi qu'aux plus proches, pour partager votre
peine.
Je vous embrasse très affecteusement.





Sophie BLONDEAU

Il fallait prévenir les abeilles 
lorsqu’un être cher mourait. 
Car si on oubliait… elles pouvaient s’en 
aller. Ou mourir de chagrin. 

Dans les replis paisibles de la vie 
rurale, une ancienne tradition bruissait 
doucement : dire aux
abeilles. 
Un rituel tissé de respect, de mystère, 
et d’un lien presque sacré entre 
l’homme et la nature. 

Au XVIIIe et XIXe siècle, en Europe 
comme en Amérique, les apiculteurs 
ne voyaient pas les abeilles comme de 

simples insectes. 
Elles étaient des membres à part 
entière de la famille, des messagères 
entre ce monde et l’au-delà. 
Et comme tout proche, elles avaient 
droit à la vérité lorsque quelque chose 
d’important survenait.
(Partie 1)

Catherine BOTALLA

À la mort d’un être aimé, lors d’un 
mariage ou d’une naissance, la 
maîtresse de maison s’approchait du 
rucher. 
Elle frappait doucement sur la ruche, 
puis murmurait la nouvelle : un nom, 
un adieu, une promesse. 
Parfois
même, on recouvrait la ruche 
d’un voile noir, signe de deuil. 

Pourquoi ce geste ? 
Parce que la légende disait que si les 
abeilles n’étaient pas informées, elles 
pouvaient dépérir, cesser de produire 
du miel, abandonner la
ruche… ou 
mourir. 

Ce n’était pas qu’un folklore. 
C’était l’expression d’une profonde 
croyance : que les abeilles 
ressentaient la joie comme le chagrin, 
et qu’elles devaient participer à la vie 
de la maisonnée.
(Partie 2)

Catherine BOTALLA

Cette tradition plonge probablement 
ses la mythologie celtique, où les 
abeilles étaient vues comme des 
courriers de l’âme, capables de 
voyager entre les vivants et les morts. 
Apercevoir une abeille après un décès, 

c’était parfois y voir l’âme en vol. 

Certains apiculteurs allaient jusqu’à 
partager avec elles un morceau de 
gâteau de noces, ou quelques gouttes 
de vin, les invitant à la fête. 

Il s’agissait d’une relation réciproque : 

respecter les abeilles, c’était recevoir 
en retour la bénédiction du miel et la 
prospérité de la ruche.
(Partie 1)

Cathy BOTALLA

Dans un monde de plus en plus 
bruyant et déconnecté de la nature, la 
tradition de parler aux abeilles 
demeure un rappel précieux — 
Celui de la tendresse silencieuse de 
nos ancêtres, 
qui ne se contentaient pas de
cultiver 
la terre, 
mais dialoguaient avec elle. 
Et dans ce dialogue, ils croyaient que 
les créatures du monde portaient en 
elles les secrets de la vie, de la mort… 
et de tout ce qui danse entre les deux.
(Partie 2)

Cathy BOTALLA