Tous les hommages rendus à Arlette PLEBANI

Je n oublierai jamais Arlette ma gentille
voisine de l impasse et marainne de mon
fils Thomas toutes mes condoléances à
vendredi Jacques portal

A ma grande sœur,
Tu seras toujours dans ma mémoire et mon cœur, ma grande sœur.
Ton image ne s'éteindra jamais car tu es gravée en moi.
Je ressens ta présence à mes cotés comme tu l'étais avant de nous quitter.
Aujourd'hui et les jours suivants, chacune de mes larmes versées à chacun de mes souvenirs avec toi me rappellera ton absence.
Tu es partie trop tôt, mais tu resteras à jamais dans mon cœur,
Ma grande sœur bien aimée.
Ton petit Frère, Daniel CRISCOLO.

Ma chère Arlette,
A l'annonce de ton départ soudain, je me suis effondrée, submergée par la tristesse.
Tu as été une très belle personne que j'ai connue : toujours souriante, avenante, bienveillante,... de bons conseils...
Je ne t'oublierai jamais ; tu resteras toujours près de moi dans mon coeur !
Bernadette CRISCOLO,
ta petite belle-soeur.

A ma marraine et à ma seconde
mère.

Je garderai en mémoire ;

Ton sourire
Ta gentillesse
Tes précieux conseils
Ta voix
Ta bonne humeur

Paul

Cara Arlette...tutto ci sfugge dalle mani,il tempo non si ferma.Ti volti e pensi agli anni trascorsi ...saranno 20 anni ? ...no 30...o addirittura 40 volati via da quei momenti per me così spensierati.Dicevo sempre
"La mia Zia Arlette" con l'orgoglio di non essere banale come tanti altri ,di sentirmi speciale avendo un legame familiare con una Professoressa Francese di un'elegante città Provenzale...un legame con una Donna dal
carattere deciso come il motore della sua AlfaRomeo Rossa....ma anche un legame con una Mamma straordinaria ,come la mia di Mamma... sempre presente per dare il giusto bilanciamento ,l'esempio concreto, e
spianare la strada diritta per le sue bambine,poi ragazze ed ora donne dai principi saldi. Ciao Arlette...cambia tutto ma cambia poco in fondo. IN Me sei sempre presente con il mio Edmond e la mia Ivonne.....
il mio saluto finisce qui,ora Mi devo fermare.. altrimenti mi sale forte il ricordo delle mattine a Nimes , quelle delle colazioni con il "Banania"...e scoppio a piangere!!