Mémorial de Martine FARAUT
Retrouvez ici tous les hommages, souvenirs et photos déposés en la mémoire de Martine FARAUT
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Créez un album collaboratif en réunissant les hommages à Martine FARAUT, pour vous ou pour une délicate attention.
Martine, Je vous ai beaucoup apprécié lors de nos rares rencontres. Vous étiez une mère qui aimait ses enfants, cela se voyait. Courage à toute la famille. Angela, la grand mère d’Alexis
A ma sœur.
Chère Martine, Je garderai de toi le souvenir d'une tante toujours à l'écoute et de bons conseils et pour finir ces dernières années je rends hommage à ton courage et ta force Repose en paix et veille sur nous
Martine, vos enfants et petits enfants doivent être bien tristes. Vous avez été une mère puis une grand-mère extraordinaire. Je garderai comme souvenir une femme incroyablement dévouée à sa famille et dont la porte de la maison était toujours ouverte. Reposez en paix. Odile et Bruno Passeron (amis de Magali)
Mes pensées affectueuses vont vers vous tous dans ce moment douloureux et plein de tristesse.. Martine était une maman et une grand mère qui vous a voué un amour inconditionnel..mais elle restera pour toujours dans votre cœur…
A TOUJOURS .
Je suis triste d apprendre la disparition de Martine, votre maman et mamy bien aimé. C était une belle personne qui a été courageuse jusqu'au bout. Je suis de tout coeur avec vous pour cette terrible épreuve et partage votre peine . Martine à rejoind Guy son époux pour un long voyage. Christine
J'ai peur connu Martine, mais il ressortait d'elle une gentillesse, une sincérité et un courage peu communs. Il ne faut se rappeller que des bons moments. Je vous adresse mes sincères condoléances Robert
Martine, vous m’aviez demandé de vous appeler par votre prénom pour me témoigner de votre amitié. J’en ai été très émue. Je fréquente votre famille depuis 30 ans et j’ai eu le plaisir de partager des moments de convivialité qui seront marqués dans ma mémoire. Vous êtes et resterez une grande dame qui a toujours su incarner de très belles valeurs de famille. Votre force de caractère a été une source d’inspiration pour nous tous. Je suis convaincue que vous avez retrouvé votre époux et vos proches dans la paix et la lumière. Amicalement, Stéphanie TOUMA
Je garderai de toi, Martine, le souvenir de ta combativité, qui fait de toi un exemple. De tous ces moments joyeux passés ensemble, de nos discussions, de ton sourire et ton affection. C est sûr tu vas beaucoup nous manquer. Toutes nos pensees vous accompagnent pendant ce moment si triste pour tout le monde. Affectueusement. Catherine et Gerard
Martine tu savais ce que voulez dire l'amitié, la convivialité la bonne humeur même dans tes moments difficiles et combatif. Pour moi tu resteras sourire et joie. Maintenant repose toi tu le mérites. Marie Marie
Martine Que DIEU vous ouvre les portes du Pardis avec votre époux que vous puissiez vous retrouver pour l'éternité. 🙏🙏🌹
Mamie, tu as toujours été là pour moi, et je garderai toujours en mémoire les moments passés ensemble. Ta douceur et ton sourire vont me manquer.
Mamie, tu as toujours été là pour moi, et je garderai toujours en mémoire les moments passés ensemble. Ta douceur et ton sourire vont me manquer.
Salut maman, Pour commencer mon petit mot j’emprunterai les mots de Daniel Pennac « Quand tout est fichu, il y a encore le courage ». Maman tu as été tellement courageuse, tu nous a montrer a de nombreuses reprises que le courage et l’amour pouvaient déplacer des montagnes. Aujourd’hui pour te dire au revoir je tenais à te dire merci. Merci d’avoir était présente à chaque fois que j’ai sonné l’alarme de détresse : Merci de t’être occupée de Manon à sa naissance quand je ne trouvais pas de place en crèche. Merci d’avoir gardé et pris soin de mes filles durant toutes les vacances scolaires durant leur enfance et même après Merci d’être venue à mon secours quand j’ai rencontré de grandes difficultés dans ma vie familiale et d’avoir pris soin de moi Merci de nous avoir accueillis mes filles et moi quand la vie était devenue trop difficile Merci pour les deux années et demi que nous avons passé ensemble, les repas, les fous rires et les engueulades aussi. Maman tu peux lâcher prise et te reposer maintenant. Je t’aime maman, À plus dans le bus !
Mamie Je t’aime tellement. Je voudrais te dire à quel point je suis reconnaissante de tout ce que tu as fait pour moi. Tu as été là dans les moments les plus difficiles, compliqués mais aussi joyeux. Je n’étais pas prête à te perdre, mais à la fois je me dis que tu ne souffrirais plus et que tu serais mieux à côté de papi. Je ne comprends pas pourquoi toi, une personne aussi attentionnée, gentille et aimante, puisses partir aussi vite et aussi tôt. On dit souvent que les meilleurs partent les premiers, et ben, c’est bien vrai. Pourquoi toi? Pourquoi aussi tôt ? Voilà ce que je me dis depuis hier mercredi. J’envie tellement les familles où ils ont encore leurs grands-parents qui vivent jusqu’à 90 ans et que toi, tu n’avais que 77 ans. Mon rêve ultime, c’était de t’annoncer un jour que tu allais être arrière-grand-mère, et ce rêve a été que j’étais à l’eau en un coup de vent. Mamie, je te demande pardon et je regrette de ne pas te l’avoir assez dit "JE T'AIME. ". J’aimais aussi le fait que tu prennes soin de moi comme tu l’as fait pendant tant d’années. Je sais que tu vas être auprès de moi d’une autre manière, mais savoir que tu n’es plus de ce monde, c’est super compliqué pour moi. J’espère que tu vas faire un bon voyage au coter de papi, faire toute les choses que tu n’as pas pu faire et profiter de chaque moments ensemble. Encore un gros je t’aime et à bientôt.
Bonjour à tous Nous n’avons pas pu monter pour vous exprimer notre soutien Mais nous tenions à vous dire que notre pensée était avec vous Bien à vous Yvette Nathalie et Cécile
Maman. À l’heure où j’écris ces quelques mots, tu ne nous as pas quitté et pourtant mon coeur se sent déjà lourd de ton absence. Ton esprit part déjà si loin par moment. Mais comment t’en vouloir ? Aujourd’hui tu es encore parmi nous mais mon âme se sent déjà orpheline. Je me sent comme cette petite fille qui se blottissait contre toi chaque soir, glissant mon bras sous le tien, posant ma tête sur ton épaule, et comme ceci, nous restions un moment en regardant le petit film du soir avant d’aller me coucher. Cette même petite fille, ta petite dernière, qui ne pouvait pas s’endormir sans avoir entendu ton « bonne nuit » et celui de Papa, d’ailleurs je me souviens encore que du temps où Papa était encore au garage, parfois je me glissait et m’endormais tout contre toi prenant sa place dans votre lit. C’est vrai je suis la petite dernière, une position facile pour certains, jalousée pour d’autres mais pour moi la plus compliquée. Grandir avec le sentiment de manquer de temps à chaque instant est tellement pesant. Aujourd’hui cette vérité me frappe en plein cœur en pensant à tout ce que Papa et toi ne verraient que depuis là haut. Potentiellement mon esprit n’arrive pas à se raisonner et ne cesse de penser que je vivrai plus longtemps sans vous qu’avec vous. Ce vide, je le comblerait en pensant à vous et en parlant de vous à mes enfants. …
… Maman, si tu savais tout ce que j’aurai à te dire à ce moment même, mais comme il est difficile déjà de communiquer avec toi, toi mon refuge, ma confidente, j’ai peur de te voir partir. Je ne peux me résigner alors j’espère. La vie que tu as mené et les combats que tu as su affronter et relever avec tant d’acharnement, je pense que tu as mérité une trêve. Tu restes un exemple pour moi et j’espère que si la vie m’y contraint, je saurai faire preuve d’autant de force et de courage que toi. Notre égoïsme nous pousse à vouloir que tu te battes. Mais pour quelle vie ? Sache que si l’envie te prend de rejoindre Papa, je ne t’en voudrai pas. Tu as déjà tellement donné et fait pour nous. Tu me manques déjà, Je t’aime.
Mamie tu vas me manquer énormément. Tu était mon pilier comme celui de beaucoup de personnes je pense. Je prenais exemple sur toi et je le ferai toujours, tu es la personne la plus forte que j'ai jamais connue. Repose toi bien dans ta nouvelle maison au côté de papi. Bisous et à bientôt.
Coucou Mamie, c’est Valentine ! Aujourd’hui, je voulais prendre la parole. J’espère réussir à te dire ces quelques mots sans trop pleurer… Mais finalement, est-ce que tu m’as déjà vue ne pas pleurer ? Que ce soit de joie, de tristesse ou de nerfs, je suis comme ça. Et puis, comme tu aimais le dire : “Je ne pleure pas, c’est juste que ça fait briller mes yeux.” Ma petite mamie, je suis vraiment nulle de ne t’avoir jamais montré à quel point tu comptais pour moi. Mais j’espère que tu t’en es rendu compte… Par exemple, quand j’essayais tant bien que mal de faire du crochet. Bon, ce n’est toujours pas ça, mais dès que j’en fais, je pense à toi. Et tu verras, je vais m’améliorer : bientôt, l’élève dépassera le maître, comme on dit ! Tu te souviens de nos moments films de Noël au coin du feu ? Même si, avec le temps, Isa et maman t’ont fait passer du côté obscur avec leurs séries coréennes… Mais ça va, je ne t’en veux pas. À vrai dire, ça me faisait peut-être une excuse pour en regarder aussi… mais on ne le dira pas ! Nos sorties vont me manquer, surtout celles à Vive le jardin, comme tu disais. Et notre journée de Spritzbredele, tu t’en souviens ? On s’est chamaillées tout du long, et en plus, la moitié était brûlée… Heureusement qu’on n’en a plus refait !
Je ne peux pas évoquer tous nos souvenirs sans parler de Taizé… Ah là là, Taizé ! Fruit of the moules, les 30 minutes de silence les plus longues de notre vie… Heureusement que personne ne nous a vues enfreindre la règle avec notre fou rire ! Et la nourriture, Mamie… Avec nos pauvres cuillères ! Heureusement que la barre de chocolat du matin était là pour étaler le beurre ! On en a vécu, des aventures ensemble… Et pour tout ça, je te remercie infiniment. Merci d’avoir été présente à chaque moment important. Merci d’avoir été une grand-mère gâteau. Merci de ne plus m’avoir forcée à manger du poisson ! Et Mamie… Souvent, les gens disent qu’il faut dire les choses quand il est encore temps. Je pense qu’il est encore temps de te dire ce que je n’ai jamais osé te dire. Peut-être par pudeur… Mais aujourd’hui, je me rends compte que j’aurais peut-être dû. Alors Mamie, je te le dis : je t’aime.
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